3 Mai
Les Rizières en terrasses du dos du dragon, nous partons pour le village Ping’an, de toute façon pas le choix les cars vont à ce village.
D’abord à la porte quelques magasin de souvenir et nous buvons un lait de soja fait dans la tradition.
Je m’attendais à pire comme déco, mais le respect des habitations en bois traditionnel me surprend et contraste avec les panneaux publicitaire décorant les ruelles et annonçant au bas de chaque bâtisses les directions à prendre pour telle restaurants ou hôtels.
Nous rencontrons des Français qui avaient dormis dans un des hôtels pour voire ci les prix étaient abordables mais la réponse étaient plutôt de ce plaindre du bruit des karaokés le soir qui résonnent dans tous les endroits du village et à l’intérieur des chambres en panneaux de bois formé de planche de 2cm d’épaisseur et parfois ajourées. Donc si vous venez y dormir pour prendre l’air pure de la montagne, oui, mais pas pour le silence, dommage.
Nous prenons les sentiers balisés pour rejoindre un des villages ethnique, quelque plateforme aménagés nous font découvrir les terrasses des rizières et l’étendu du site.
En cour de chemin une femme de l’ethnie Zhuang en tenu traditionnel nous aborde et veux nous emmener dans son village, comme c’est là ou nous voulons aller, on a plus qu’a suivre, en chemin un couple de belge, un peu perdu, prend part à notre caravane, et heureusement que l’autochtone et là parce ce que pendant un moment un nouveau chemin, ou un engin motorisé peut y rouler, c’ est ouvert et non répertorié sur la carte, nous auraient déstabilisés dans la direction à prendre.
Sur le chemin ont croisent d’autres autochtones qui grossissent la troupe et nous mènent chez eux pour le déjeuner.
A un endroit ou une cascade forme un bassin naturel, elles nous vendent contre de l’argent le déploiement de leurs longs cheveux.
Puis nous arrivons à leur village ou elles nous invitent à rentrer dans une de leurs maisons traditionnelles. Toutes les femmes s’affairent à préparer le repas, cuis dans la tradition et excellent.
Quand l’addition arrive on discute un peu, on marchande le tout, faut jouer le jeu, et il faut bien se dire que pour 200yuans divisé en 4personnes ce n’est pas chère, pour nous, et que, pour eux, cela fait un bon revenu d’appoint.
Après manger nous reprenons le chemin et la femme du début nous accompagne, mais en route elle me fait des propositions plutôt coquines, cela me faisait rire mais ces propositions, pour aller à mon hôtel, étaient sérieuses. Il m’a fallu pas mal de diplomatie et de tact pour nous en séparer. Au fait ou sont les hommes???
La femme du Belge s’inquiétait de la distance du retour, mais pour finir on a été plus vite que nous le pensions à rejoindre l’autre village au départ du circuit.
Ouah ! Une belle journée.