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PrÉSentation

  • : Vivre en Chine, mes Voyages, vie de tous les jours, mes amours, mes coups de coeur, ma vie après mon accident...
  • : Le plus belle amour que l'on puisse donner à l'autre c'est de le laisser libre. Celui qui reste, demeure dans sa prison. Loin de ma famille de France, au milieu de la Chine, j'attend celle que j'aime. Amour impossible puisque sa famille la remarié de force avec un autre chinois.
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Texte libre

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8 avril 2007 7 08 /04 /avril /2007 12:06

je me souviens d'un week end de travail de méditions ou le temps était quelque chose de très évidant.

    Nous sommes arrivé le jeudi à Thérargue, petite village dans le sud de l'ardèche, dans une très belle demeure, petit château style renaissance, pour une mise au point du travail que nous allions faire pendant ces 4 jours. Pendants ces jours de méditations le silence était demandé, la parole ne devait être quand cas d'extreme urgence.

    Le vendredi au petit jour petit exercice de qi gong , petit déjeuner avec rappel à l'ordre pour certain de ne plus dire mots. Puis vers les huit heure nous montons dans l'arrière du château dans un petit bois ou se trouve une sale tout en bois. Sur le toit de cette sale, quand la chaleur est trop accablante de petits gicleurs d'eau arrose le toit, l'eau y coule le long comme une pluie fine ce qui est très agréable. Donc, nous nous intallons à l'intérieur autour de cette sale. Le professeur étant un chinois du nom de P.Moy, je le connaissais d'un stage précédent ou nous avons fait connaissance , c'est une personne très sympathique , avec qui l'on peut facilement aborder plein de choses, mais qui garde ces distances, si l'on ne lui parle pas, il ne viendras pas à vous. Chacun prenant une position assise en tailleur , cailler , crayon et enregistreur de poche en main, pour ne pas rater une seule explication du Maître.

    La matinée passa vite, les explications sur le travail de la méditation , les différentes méditations et leur but, les erreur à ne pas commaître, etc... Le plus dure était que des questions nous venaient à l'esprit mais que le rappel à l'ordre de ne pas pouvoir parler était là, donc la non possibilité de poser des questions, ce qui n'était pas évident et ce qui nous demandaient une attention précise et claire à tout instant.

    La cloche du dîner se faisait entendre, la matinée était passé. Le maître nous demande d'aller nous restaurer et de se reposer après manger et de revenir pour 15 h. En descendant le bois pour rejoindre le château ou le buffet, de pleins de plats, nous attendaient, faut dire que la cuisine était bonne, simple et très frais, des élèves marmonnaient, se parlaient à eux même, on les regardaient avec sourire. Dès la première matinée des personnes ne pouvaient s'empêcher de parler, sa semble pourtant simple de ne pas rien dire, mais en groupe de personnes qui se retrouvent après une longue période on a l'envie de ce raconter des choses, de prendre des nouvelles...

    Le dîner fut un peut hippique: des choses simple devenaient peut évidente ou même parfois compliqué, ex:demander le sel sans pouvoir parler. Un autre groupe était présent et quand il nous demandait quelque chose, le sourire remplaçait la parole, mais l'incompréhension se lisait dans certain visage ou regard de ne pas répondre par la parole à leurs demandent. Quelques gros mots habituelle finissaient par s'échapper... A 

    15 h tous le monde étaient en place. Reposé, tous assis en tailleur, le crayon , cahier, etc.. en main, sauf moi, j'avais une tenue plutôt assis à la décontracté et mes affaires servant de repose tête. Le maître arrivent doucement, inspectant discrètement chacun. Il s'assis en tailleur et parla à l'oreille de son amie, sont amie parla à une traductrice qui vient à moi. elle me dit que le maître veut que tu soi assis à côté de lui, j'étais visé, comme on dit, tous le monde me connaissait bien et ma tenue relâcher fut pris avec sourire. Je pris mon zafu (coussin de méditation) et je m'assis à coté du maître, cette fois ci correctement en tailleur. Il souris, l'assitance souris de nouveau. il me fit décaler pour que la traductrice, qui était une amie à moi, put s'intercaler pour me traduire, P. Moy parle l'anglais parfaitement alors que moi pas grand chose.

    il se mis à dire; que comme dans la matinée, il nous à bien observé tous en donnant les explications, il a observer que tous le monde pouvaient rester en tailleur pendant de longs moments et que les explications ne remplace pas le travail alors, les explications sont terminer et nous allons passer au travail immédiatement. De s'intaller le plus confortablement en tailleur, de fermer les yeux et laisser un fils de lumière filtré entre les paupières, de calmer la respiration et de la prolonger. Tandis qu'il murmure a l'oreille de la traductrice qui murmure à mon oreille de ne pas fermer les yeux est d'observer l'assistance. Puis il dit que tous le monde est près, et qu'a partir de ce moment nous allons passer le restant de la journée à méditer, puis il ne dit mot, il me regarde et me fait signe de regarder les élèves.

    Il ne donna aucune instruction ni directive dans le travail sur la méditation. Le doute s'installait parmis les élèves, qu'elle genre de méditation fallait il prendre, pourquoi il donne pas de directive et, il faut méditer le restant de la journée, c'est jusque quand? Il ne fallu pas 5 minutes pour qu'un élève n'ouvre les yeux et tourne le regard vers le maître, le maître regarda sa montre, me regarda et souris, puis d'autres et d'autres bougeaient, ils ne se passa pas plus d'une demis heures sans que plus de la moitié de l'assitance ne bouge ou ouvre un oeil.

    Il arrêta le travail au bout d'une heure, si on peut appeler ça travail, ce fut une observation pour moi plein d'enseignement. Alors que tous le monde attendait dans le début de l'après midi encore des explications , elle fut couper par une séance de travail immédiat, puis, plus commentaire, plus d'instruction, et la surprise de rester, le reste de la journée assis en tailleur, pendant un certain temps qui n'était pas défini. La notion de temps, plus, le "lâcher" dans le travail sans savoir pour ainsi dire qu'elle directive prendre, ce ne fut pas le calme dans la tête pour certain. C'est comme à des enfants à qui débutent à marcher est que l'on lâche la main et le le laisser libre vagabonder, la panique s'empare. Ne trouvant pas le calme dans les pensées et l'esprit, ils ne purent ce relâcher, et le travail fut bref et interrompu.

    Ce que le maître demanda par la suite, c'est d'abandonner les stylos, cahiers et toutes sortent d'enregistreurs pour être encore plus attentif et d'écouter et de ne plus simplement entendre et de recopier bêtement, la compréhension passe par une écoute attentive et instinctive.

     Le reste du week end de déroula sans incident, le maître voyait qui ce perdait dans son travail et venait à son secours.

     Ce texte fait parti de mes expériences dans mon travail personnel, il reste graver comme bien d'autres moment ou la compréhension de petit rien peut devenir très important aux yeux de quelqu'un.

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24 août 2006 4 24 /08 /août /2006 15:38

    Je m'installe dans la chambre, tous les élèves viennent regarder le lowai (l'étranger) et même fouiller dans mes affaires, la curiosité .

     Le professeur de ces élèves qui doit avoir dans les 25 ans, me présente un jeune garçon , il tente de m’expliquer que ce sera mon “boy”, qu’il doit nettoyer mes affaires, la chambre, etc… N'étant pas habituer , je lui fait comprendre que je suis très indépendant. Plu-tard je m'aperçus que les plus ancien prennais un jeune élèves comme petit frère. En fait ces jeunes étant séparer de leur parents très tôt, retrouvait comme de l’affection en prenant quelqu’un avec eux, il n'était pas rare de les voire ce tenir la main entre eux et même de se toucher comme des amoureux. Il est 11 h est le jeune qui doit etre a mon service m'apporte ma gamelle, riz , légumes, un peut de viande et les baguettes, il ont très vite mange, pour profiter de faire la sieste, moi je vais me promener.

    Dans l'après midi je reviens chercher mon appareil photo, il ni a plus que mon jeune serviteur qui m’attendais, il me dit de venir avec lui, nous partons dans un petit chemin suivant un bras de rivière pour découvrir le lieu de travail des élèves, deux petites plate-formes de terre battu, dans une, une petite fausse rempli de 25 cm de paille, quand nous sommes arriver il étaient en entrain de s'entraîner a faire une pirouette et retomber dans la fausse, et pour démonstration le prof avait mis une épée, pour qu’il puisse passer au dessus, un des élèves rate sa pirouette pour retomber sur la tête dans la fausse, un frisson parcouru dans le dos que je me précipitais vers lui de peur qu’il n’est arriver une fracture des cervicales. Les autres en rigolaient , l'élèves se plaignais d’avoir mal dans le coup, le prof intervient en l'engueulant, et lui pris sa tête entre les mains pour lui tordre le coup comme tous les gens inconscients font pour enlever un torticolis, le gosse cria un coup et reçu un coup de pied dans le cul avant de partir je ne sais ou. J’en restais assis sur le cul de voire ça..

   La journée passe, le soir Sacha et mon Sifu (moine) m’invite a manger au restau. Mon Sifu était habiller de tenu de sortie, c’est a dire: basquettes nike, short nike, tee shirt nike et casquette du même nom. Au restau, on parle de choses et d’autres concernant shaolin, forcement, et a mon grand étonnement je le vois manger de la viande, boire de la bière, par la suite je l’ai vue dans une soirée bien arroser,  me dit qu’ a l'intérieur du temple les moines bouddhistes respectent les conditions imposes par leur foi mais qu’a l'extérieur, s’il sont habiller comme nous , ils mangent et boivent comme nous et font du business, même qu’ils ont des actions en bourse…Étonnant, sorti du temple ils se mélangent a la masse commune du peuple.évolution des temps

   Le lendemain matin réveil au petit jour, 4,30 h du matin, sans déjeuner petit footing, dans un chemin derrière le temple menant a la grotte de bodhidharma dans la montagne, puis des marches a gravir en courant jusqu'à la grotte, je me suis casse la figure quelque fois, les marches étaient en mauvaise états et a cause de mon accident je courre avec des mouvements en désordre, ce que le prof remarqua et dit lorsqu’il a vue mon Shifu, et je fus dispense des le premier jour de cette course au travers des marches.

   Pendant les premiers jours mon Shifu étant occupe je devais faire mon Qi Gong pendant la matinée et le prof me donnait des exercices de mouvements. Les nuits étaient courtes et vite passées, les jeunes faisaient du bruit très tard, claquant les portes rentrant sans demander, causant très fort, dormant sur le toit plat de la maison, le réveil étant de bonne heure, avec le lever du jour. Je commençais a apprécier la sieste.

   Après cinq jours vers 2 h du matin une envie de vomir, je cours vers les toilettes, si on peut appeler ça des toilettes, un carre de mur de un mètre sur un mètre et un mètre de haut, de quoi délimite que c’est les toilettes, quelques briques par terre pour ne pas marcher dans la merde des autres. En y arrivant c’est une envie de diarrhée qui me prend, je me tiens au mur, quand la première diarrhée fut passer je me lève pour vomir par dessus le mur, et ce fut 2 h de calvaires, quand je vomissais pas, j’allais en diarrhée. Jusqu'à ce que les jeunes ce réveillant viennent me rechercher. Je tenais plus sur mes jambes, vide littéralement. Je pris mon moxa (cigare ‘d’armoise que l’on se sert pour chauffer les point d'acuponcture). Mon Shifu arrive avec Sacha, il me demandent ce que j’ai, la réponse du Shifu et très rassurante : “Quand on est empoisonne par la viande avariée, acupuncture ou Qi gong ne peut rien faire, on y passé” Je me voyais finir mon séjour rapatrier sanitaire. Ils m'attrapèrent par dessous les bras et m'amenèrent dans une officine médicale. Et je passais la journée avec des  de sérum pour éviter la déshydratation, le soigneur y injectait les médicaments. Le soir je tenais debout. Il me dit en chinois : “que même si çà vas mieux demain de revenir”. Mais mon chinois n’étant pas parfait je compris que si çà vas mieux je ne reviens pas. Le lendemain je me reposais sans aller a l’officine, l’erreur fut fatal , dans la nuit qui précède fièvre et je me suis fait sur moi. Retour a l’officine pour deux jours avec trois bouteilles de sérum par jours. Pendant ces deux jours j’ai vue défiler des jeunes qui venaient se faire soigner pour des mains exposées par des frappes intensives ou des visages esquintées par des bagarres, quand ils ni avaient pas de coupures par des armes.

    Mes dix premiers jours furent un peut mouvementer, je décide de prendre une chambre a l'hôtel pas trèsloin de l'École pour mieux me reposer et pour manger plus correctement.. Un matin mon Sifu viens sur le terrain d'entraînement me dit d'aller déjeuner très vite et de revenir avec une bouteille d’eau. Revenu, il me dit “qu shang shan’, (partir dans la montagne) et nous partons tous les deux.. 2 heures de marches dans la montagne pour arriver sur un petit promontoire plat de 2 metres carre surplombant un précipice d’une centaine de maître de haut, et me dit ; maintenant, : QiGong Shaolin. Il me montra un mouvement, une foi, et me dit : congzouo (travail), lui il s'assit face au vide et médite, me tournant le dos, tandis que moi je commence a répéter le mouvement indique. Après un long temps de répétitions du même mouvement il se retourne me regarde, se lève et me montre un deuxième mouvement, puis de nouveau s'assier  pour méditer sur le rebord de la falaise. Un bon moment passé encore, je répétais le premier mouvement et le deuxièmes, une heure, deux heures que je rejetais. Puis il tourna la tête, me regarda faire , me dit ;”bu hao”, (pas bien) “ni bu kan hen hao” (tu n’a pas bien regarder). Il se leva ; “kan”(regarde). Il me montra une fois le deuxième mouvement plus lentement, puis me regarda le faire, et il s'assit de nouveau. Je compris que si je voulais avancer dans les mouvements et de na perdre du temps j’avais intérêt a bien regarder se qu’il me montrais. La journée passa vite avec deux mouvements a mon acquis, nous descendons dans la soirée, ce qui veut dire que nous avons rester la journée en haut sans manger. Le soir venu il mange avec moi au restaurant simplement un bol de riz. me dit a demain , et que nous allons dans la montagne travailler.

    Ce que je fit avec lui pendant les 10 jours qui ont suivis, tous les jours nous partons a 6 h du mat pour deux de marches, retrouver l’endroit ou il médite et moi ou je travail, toute la journée en haut sans manger et le soir retour, deux heures de marches. Un soir ou je profitais que  mangeais avec nous pour demander s’il ne mangeai seulement qu’un bol de riz le soir et ce qu’il mangeai le matin. La réponse fut un bol de riz le matin et le soir un bol de riz. Je trouvais cela insuffisant, il vu mon regard, et parla a  Sacha  qui me traduit. “En fait pendant que nous irons a la montagne il ne mangera que ça, il dit que quand il mange sont bol de riz, il trouve dedans toute la force nécessaire qu’il a fallu pour qu’il arrive jusqu'à lui: la serveuse qui lui a donner avec l’honneur de le servir, le cuisinier avec tous l’amour qu’il a mis dans sa cuisine, le transporteur qui a mis toute sa force pour porter les sacs de rir, les paysans qui ont cultiver avec ferveur ce riz, le laboureur avec son bufle le courage qu’il a mis pour façonner son terrain, le soleil, la pluie, l’eau qu’il a fallu pour que ce riz vienne a maturité, l'épi de riz qui a donner un nouveau epi de riz pour arriver a moi pour me nourrir, ainsi il va puiser a l’infini toute l'énergie du riz qu’il mange”. 

    Au troisième jour ensemble il me dit que si je veux je peut aller méditer avec les moines le soir au temple, je ne fait pas prier, je suis d’accord, et dans ma tête quelque chose me fait reculer en allant au temple. Meditation Tchan, ancêtre de la méditation Zen, je pense que ça vas etre dur pour moi, en espérant que les méditations ne durent pas trop longtemps. Quand je rentre dans la pièce des moines sont déjà la, debout ,assis décontracté, plus ou moins allonger, se gratant le nez ou ce curer les oreilles. J'essaye de trouver un endroit pour m'asseoiren tailleur, je cherche qui pourrait avoir une position correct pour le copier, les regards vers moi ne sont pas marquer, une fois assis je regarde et j'attends, je me dit qu’ils attendent le Maitre de cérémonie, des moines rentrent, d’autres sortent et reviennent, puis après deux bonnes heures, tous le monde se lèvent et s'en va, je comprends que c’est fini, d'ailleurs on m’attend pour fermer la porte. Les jours suivant je reviens, les moines ont la même attitudes, cela semble plutota une sale de repos que de méditation, et je pense toujours qu’ils attendent le Maitre de cérémonie. Au quatrième jour Shacha viens manger avec nous , j’en profite pour demander comment ça se passe pour les méditations ? Shacha me repond que lui aussi quand on l’a inviter, il croyait que l’on attendait quelqu’un pour diriger la méditation, et ni comprenant rien il a arrêter au troisième jour. Alors je demande a mon Shifu: “La méditation tchan actuelle a évoluer avec le temps, elle n’est pas comparable avec la méditation zen, la position n’est plus importante quand on et continuellement en méditation, relation avec la plus infime partie de son corps comme avec l’infini qui nous entoure, les moines savent avant que vous ne rentriez qu’elle sont vos intentions, si vous venez en touriste on vous invitera a sortir, si vous venez partager votre travail de méditation, vous êtes le bienvenus, ainsi si on ne vous a rien dit, c’est que vous venez avec de bonnes intention, c’est a vous seul de rentrer en relation avec votre travail de méditation”. Donc il ne faut pas attendre que quelqu’un nous dirige dans le lieu de méditation.

    Dix jours passes a apprendre avec mon Shifudans la montagne, une forme de ba dua jing (huit pièces de soie) spécifique a Shaolin. Puis je lui est demande de travailler sur comment inniber la douleur, alors un matin. Il me demande de prendre la position d’embrasser l’arbre, (les jambes légèrement fléchi écarté de La largeur des épaules, comme si vous étiez cavalier , bascule du bassin vers l’avant, le dos droit et verticale, et les bras a hauteur de la poitrine en forme de rond comme si vous embrassiez un arbre), je me mis dans la position, et le il eut bien fallu que je me relâche au maximum et d’oublier la fatigue et les douleur parce j’y suis rester dans la position pendant 5 h. Il venait avec sa baguette de temps en temps me touchant les endroits a relâcher et a frapper les endroits ou les mouches venaient m’emmerder, et quand il en tuait une, on l’entendait dire “Ommi toufou”. 

     Le reste de mon séjours fut base sur d’autres exercices, des étirements, des méditations  des discutions sur la vie monastique de Shaolin,et des bouffes avec les francophones qui apprenaient dans différentes ecoles….

     L'année dernière j’y suis retourne., qu’elle changement : ils ni a plus d'écoles, plus de magasins, plus d'hôtel, tout le long de la route qui mène au temple. Dans la grande école de wuchu guan, la sale d'entraînement des étrangers et devenue salle de spectacles, l'hôtel est fermer. .En fait ils ont reconstruit un petit village cacher du regard des touristes, il y a trois ou quatres écoles, tenues par des anciens moines, et quelques petits hôtels minables et sales., le village a été construit en 2001 mais je peut vous dire que l’on dirait qu’il a plus de cinquante ans…

     Avant si vous y venez chercher la spiritualite vous étiez déçus par le business qui y é autour mais au moins il y avait de la vie. Maintenant c’est devenu un parc d'attraction pour touriste avec quelques fonctionnaire habiller en tenu grise de moines pour ne pas les confondre avec les vraies en tenue de couleur safran que l’on voie pas. 

     Je remercie Sacha de m’avoir permis de rencontrer mon Shifu, d’avoir traduits, d'être venu me soutenir pendant que j'étais malade.

     Je remercie mon Shifu de m’avoir accepter, et d’avoir appris auprès de lui.

     Je n'oublierais pas ces gosses de cette école, et les francophones pour les soirées ensemble.

rajout:Mars 2008

Suite à de nombreux messages laissés sur le blog ou envoie direct par email pour me demander comment rentrer ou vivre à Shaolin, je met en ajout, ci dessous, une réponse faite pour un des lecteurs de mon blog et de cette article. J'avais déjà fait un avant propos sur la cituation actuelle de Shaolin quelques paragraphes au dessus (en souligné) Vous pouvez regarder aussi les quelques nouvelles photos sur Shaolin mis à votre disposition dans les catalogues photos.

Pour apprendre le Hungfu ou le wu shu, tu peut l’apprendre partout dans la chine. Le seul hic c’est de trouver la bonne école qui te convient, financièrement, (ont peut toujours discuter les prix) les conditions de logements, (tous à revoir, bruit et insalubrité des toilettes), les conditions de nourritures, (pas facile les baguettes, non, c’est plutôt une question de goût)  la difficulté de langage, (l’anglais à la sauce chinoise) et la différence culturel. Le temps des heures creusent ce fait long, et la télé est rabageoise. Tu peut tomber, aussi, dans une école ou le statut militaire n’est pas très loin.

Quand à vivre au temple de Shaolin, le rêve reste rêve, et peut y ont eut accés en temps qu’étranger, cela ce compte sur les doigts d’une main.Ceux qui ce disent moine de Shaolin  cela leur regarde, mais jamais aucun étranger n'est sorti moine de Shaolin, beaucoup ont appris dans les écoles qui se trouvaient là autour du temple au par avant. Depuis la réforme du nouveau directeur des lieux mis en place en 2000, shaolin à trouver sa nouvelles structure touristique que l’on visite en petite voiture électrique dans un lieu de verdure tout récent ou seul,  une école à l’entrée est rester pour montré aux touristes que le kung fu  existe toujours. Et n’oublions pas les grandes démonstrations faites dans le dojo de l’ancienne école de Wushu guan.

Le village y a été détruit est reconstruit à l'abri de toutes vue touristique, ( ont évite de par les poubelles qui débordent et qui se trouvent à l’entrée). Pour y accéder en face du temple, de l’autre côté de la rivière, un petit chemin qui monte sur le coté gauche du temple ou ce trouve à l’intérieur tous les boudhistava. J’y est vue une petite école tenu par un ancien moine. Y avoir accès, je sais pas. La plupart des anciennes écoles qui ce trouvaient sur Shaolin ont trouvé refuges sur Denfeng, à 15mn de là, J’ai pas plus de renseignements.

Visite Shaolin, c’est quand même a voire. Septembre dernier j’y suis passé avec des Canadiens, ils ont été dessus par le coté rêve touristique et l’affluence de monde.

 

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11 août 2006 5 11 /08 /août /2006 14:42

Juin 1996

 Après un mois passe dans le centre de therapie de mon Maitre Shen Wei a Pekin, puis un mois passé dans les montagnes du Wu Dang, mon traducteur de Pekin, Monsieur Xion, m’avait conseille de passer par la ville de Luoyan voir les grottes de Long Men (5 Km de falaise au bord d’un fleuve, scultes de milliers de boudhas, du plus petits de quelques cm a des geants de 25m), ce que je ne manquais pas de venir voir et comme Luoyan est a quelque Km de Shaolin, il faut y aller.

 Face a la gare de Luoyan,je prends les cars de visites traditionnel pour aller a Shaolin, on me dit que le car et presque plein et qu’il va partir, je monte, et quelques instants après une personne qui attendait dedant , descend est recoit un petit billet et s’en va. Et on attend. d’autre touristes (pigeons) arrivent et le cimena ce repete, les personnes montent et quelque instants après les personnes qui etaient deja instaler descendent. En fait les personnes qui attendaient dedant etaient la, simplement pour faire objet de car plein pret a partir. Après quelques heures d’attente, le car se rempli de vraies touristes pret a partir pour Shaolin.

 Apres deux bonnes heures de route, une montee de colline asser impressionante nous passons un petit col pour arriver.

 Quand vous arriviez,ces annees la, l’impression que cela ma fait, fut, la meme impression que le jour ou je suis aller a Lourde. Des magasins tous le long de la route et des ecoles. Ils y avaient 7000 eleves et 40 ecoles de Kunfu. Moi qui revenait des montagnes tranquils, ou pour trouver les temples il falait gravir des marches pendant des heures, je me demandait ou j’allais trouver le bon chemin qui mene au temple, et de plus, je le pensais dans la montagne. Je me retrouve sur une placette face a une grande porte avec deux rond de chaque cote dans les murs, autour de la place des magasins et des chants boudhistes accompagnes de musiques. Un peu paume (perdu). Mon guide dans les mains je regardais de droite et de gauche ne sachant a qui m’adresser. J’entend:

 “ca, c’est un francais qui est perdu.” Je regarde en direction de la voie et je vois un grand type assis sur un band je repond :

 “J’ai bien entendu, vous parlez francais?

 _Je suis Francais.

 _Vous connaissez Shaolin?” un large sourire se degage de son visage.

 _“asser bien, je vis au temple depuis maintenant presque deux ans.

 _Ha. Je croyais que les etrangers n’avait pas le droit d’y vivre.

 _Non, il y a eu un jeune allemand de 16 ans boudhiste qui y a vecu un an, et d’autres..

_Et il est ou ce temple?

 _Tu y es devant. _Oups , non, moi qui croyait qu’il soi dans un coin de la montagne, tranquil… non, c’est ca?

 _T’es decus?

 _Oui, non, je reviens des montagnes du Wudang ou il faut faire des Km pour acceder au temples perdus dans la montagne, je ne pensais pas le trouver ici, au milieu de tous ces magasins , ces ecoles, et ce bruit, je mis attendais pas quoi. Mais qu’est que tu y fait?

 _J’ai un shifu (moine intructeur), qui m’apprend le Kun fu de Shaolin.

 _Oua, et tu vie avec eux, dedant?

 _Et oui.

 _Tu peus, peut etre m’aider alors, je suis enseignant en Qi Gong en France, j’ai suivi une formation il y deux mois de ca a Pekin, chez mon Maitre, et puis dans les montagnes du Wudang j’ai trouver un moine qui m’a dit de revenir dans quelques annees parce que je n’etais pas prêt, j’ai encore un moi de visa, alors si je pouvais apprendre le Qi Gong de Shaolin, ca m’interresserais, tu connais ca? tu connais quelqu’un?

 _J’ai entendu parler de ca, mais j’ai pas encore pratiquer et au temple c’est pas evidant de savoir, qui pourrais t’enseigner ca. C’est trop drole, jamais je m’assies ici, tous les chinois me connaissent et je suis toujours embetter pour etre photografier avec eux, aujourd’hui je sais pas pourquoi, je me suis assis ici et personne ne venait m’embetter, et quand je t’ai vue, je savais que tu cherchais quelque chose d’autre que de visiter le temple, parce que je t’ais vue descendre du car touristique, et tu ne les a pas suivis pour visiter. Viens on vas voir un des moine le plus vieux pour savoir qui pourrais t’accepter.”

Il se leve me tend une poignee de main et dit:

 “Moi je m’apelle Shacha et je suis originaire de Lyon et toi?”

 _D’Aix en provence”

 Et nous voila tous les deux rentrer en face, dans le temple de Shaolin, et j’ai le droit au passage d’avoir des explications sur le temple, un guide a moi tous seul, qui parle francais et qui vie au temple. On rencontre le moine qu’il voulait voir, il lui parle chinois, corectement, puis nous traversons des cours interieur.

 “Le probleme, me dit’il, c’est de trouver un vrai moine., qu’il connaisse le Qi Gong et de plus il faut qu’il soit libre, qu’il n’est de novice avec lui en se moment.

 _ Heu, pardon, un novice?

 _Un jeune moine qui soi sont eleve.

 _ Et c’est quoi, cette histoire de faux moine?

 _ Quand je suis arriver il y avait 80 moines au temple, quelque mois après il y a eu un nouveau dirigeant qui a ete nomme, il a fait le trie et il c’est apercu qu’il y avait 40 moines qui n’avait que les habits de moines, des squateurs si tu prefere. C’est facil, t’achete en haut de la rue, la robe qui faut, du dit que tu viens d’un temple boudhitiste que tu connais et te voila, loger au frais du temple.

 _ non, c’est pas vrai?

 _si , si, ils balayaient un peu pour s’occuper, bouffaient et dormaient au frais de la princesse.

 _He be, quand je vais raconter ca, c’est incroyable , mais ils faisaient de Kun fu?

 _Tous les moines Boudhitistes ne pratiquent pas forcement le Kun fu, ici il n’y en a qu’une dixaine qui connaissent le vrai Kun fu de Shaolin et d’apres ce que l’on vient de me dire il ni en a que quatre qui connaissent ce que tu veux apprendre, et un seul qui n’a pas de novice, on va le voir, Ha, il est la, a ces ecritures, t’a de la chance".

 Nous venions de traverser le temple pour rentrer dans une piece ou il y avait un grand Boudha allonger. Shacha lui parle, le moine ne fit aucun signe de l’ecouter, il continuait ces ecritures, il ne leva pas les yeux et ne dit mots. Nous restions a cote de lui sans rien dire, attendant une reponse, après quelque temps, bien 20 mn, j’etais presque en face du moine je regarde Shacha et avec mes yeux je lui fait signe qu’est qu’on attend? Sacha me dit:

 “ ici est magnifique le boudha, C’est le boudha couche” Et il me faisait signe de sa tete et de ces yeux, de ne rien dire, de ne pas bouger , d’attendre. Et le moine sans lever les yeux parle a Shacha. Shacha me fait signe avec ces levres qu’il vient de se faire engueler. Et on attend. Puis quand il a fini ces ecritures, Il parle, et Shacha lui repond. Puis Sacha me dit qu’il est d’accord pour m’apprendre le Qi Gong, je lui demande qu’elle sont ces conditions. Il me repond que sont eleve a une toute petite ecole de 10 eleves et que j’allais vivre avec eux et que je payerais les frais de logements et pour manger, pour lui, je fairais un don au temple. Puis il m’invite a aller voire l’ecole.

 Une maison avec cour interieur, un etage, au bord de la riviere qui coule le long du vallon de Shaolin Se, le proprio vivant a l’etage, les eleves en bas, dans des chambres par deux. Il me montre la mienne, je dormirais avec son eleve intructeur, le lit : Gloups… une porte sur 4 parpains, il me dise qui vont mette un lit, Ouf.(mon pauvre dos) Et c’est la que je lui explique un peut mon accident. Il me dit que le Qi Gong de shaolin va me redonner la force et la vitalite.

 Apres les accords, je repart a Luoyang chercher mes affaires a l’hotel, revenant le lendemain pour un mois.

 Pour lire la suite de mon sejour a Shaolin, il faudra patiente quelques jours est revenir sur mon blog, merci.

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3 août 2006 4 03 /08 /août /2006 12:04

Octobre 1996...

Je venais de rentrer de trois mois de Chine.

 Mon maitre m’avait, un jour, convoquer dans son bureau, suite a une histoire qu’il avait vecu, il l'avait raconte a tous les eleves de sa formation et au patiens. Ils me disait qu'il aimait bien raconter ce genre d’histoire qu’il a vecu et qu’il aimait bien enjoliver les choses. Mais surtout qu’il avait une grande par de veriter et quelque fois des dires, qu’il aurait voulu que se soi ainsi, il ne parlait pas de mensonges, mais de ce qu’il pensais etre le mieu, et que c’etais a moi d’en decouvrir la realite des dires et de ce qui n’a pas ete vecu. Ainsi je pouvais me proteger et faire attention a ce que l’on me dira et de ce que je fairais dans ma vie. Et, que, dans quelque temps, je fairais une experience dans ma vie qu’il faudra savoir me proteger, il me met en garde que tous n’est pas bon a prendre.

 Mes amis avais organise une petite soiree pour que je puisse leur visionner les films de la chine et que leur racontes ma vie la bas.

 La soiree terminee, on me dit que certains d’entre eux vont bientot parciper a une nuit chamanique et que c’est mon prof de Qi Gong qui le fait venir du mexique. Il allait souvent au mexique, et racontais ces experiences vecu avec les chamanes mexicain, il etais a la recherche du savoir pour communiquer avec l’haut de la, acquerir un pouvoir, surtout dans ce but. On me demande d’y participer. Et pourquoi pas, sans reflechir j’y partipe.

 Nous voila donc mi octobre dans l’arriere pays Toulousin, pour cette initiation chamanic. On commence le debut de la nuit par une “sweetloge” : ils avaient contruit une sorte de “yourt” (tente) on y rentrais en petite tenue, des galets rougis dans le feu de camps etait placer au centre dans un trou, et il arrosait d’eau pour faire monter la temperature. J’etais intaller au deuxieme rang, devant moi il y avait des enfants, ils etaient a cinquante centimetre de ce brasiers. La chaleur etait sufocante, cela me brulait, imaginer les enfants qui etaient devant moi, pendant un moment un des enfant perdi conaissance, j’ai vue sa tete tomber sur l’epaule de sa soeur, je me suis retourner pour dire aux parents qu’il faut les sortir, qu'ils sufoques, non, c’est pas grave, il faut attendre la fin, je les ais attrapes et sortis, cela commencais bien.

 L a sweetloge termine, nous nous installons autour d’un grand feu. Mis octobre, au pied des Pyrenees la temperature est fraiche, le feu est bien venu pour passer la nuit, nous avons les sacs de couchages.

 Quatre mexicians sont presents, don le chamane, il nous distribu du payote (droque tirer d’un coeur de cactus) a chaqu’un, il se presente devant chaque personne, met la main sur la tete, fait une priere pour demander la dose qu’il peut nous donner, on doit l’avaler avec du ju d’orange et c’est tres, tres, tres amere.

 Il nous explique que le feu represente la terre mere, et que nous devons tous rendre a la terre mere tous nos pechers pour nous purifier. Je pensais a une sorte de confession, mais non, chacun etais libre de dire ou pas, mais surtout que nous alions avoir des alucinations et que nous devons vomir nos pechers dans le feu afin de pouvoir passer le “passage” sans encombre. Cela n’a pas tarde pour certain, et vas y que je te vomi dans le feu, a vomir je ne sais quoi, on n’avait pas manger, pour certain ca y allait, et plus vous vomissier et plus les mexicains chantais autour de vous, le chamane demandait a ce qu’on lui dise les pechers les plus lourds a supporter, ils n’etaient pas retraduits. Et lui buvait du mequilet, (acool fermenter de cactus avec un grosse larve dedant) Les autres chantaient en gratant leur guitare, certain continuait a vomir, d’autre partait dans de delires, et moi j’observais, rien ne se passait, pourtant j’ai eu la dose, meme qu’une fois un des mexicains est venu me demander si j’avais pris le payote.

 Le chamane etaient en trance, plutot saouls, il allait entamer sa troisieme bouteille quand il nous dit :

 “il y a un probleme il manque quelqu’un, celui qui m’a fait venir en france pour cette initiation et il n’est pas la, il a peur tellement de venire tant qu’il a de pecher a rendre, il manqué un maillon a cette chaine pour que tous le monde puisse passer se “passage”, je le vois, certain non pas rendu leur pecher a la terre mere, il faut le faire venir autrement je vous laisse ainsi”.

 Il pris sa troisieme bouteille qu’il bu presque d’un seul tenant, il s’ecroula dans son fauteuil ivre mort. Les mexicains se mettent devant lui et chantaient accompagne de leur guitare.

 A ces mots certains redoublaires dans leurs delires, l'un  tomba a genou dans le feu en implorant que personne ne l’aimait, je fu obliger d’intervenir pour le retirer, personne ne l’aidait, son pantalon brulait. Certain alumaire leur portable pour telephonner, savoir ou etait le prof, il etait deux ou trois heures du mat, d’autres voulaient rentrer chez eux et pleuraient les larmes de leur corps. Je n'avais vu un tel delire. Les mexicain intervenaient et demandaient a ce que personnes ne quittent le cercle.

 Ils avaient reussi a joindre le prof, suite a une greve il est rester bloquer dans un aeroport (mensonge) mais comprehensible et admis des mexicains.

 Le jour se levait, tous le monde avaient vomis, sauf moi, d’autre finissaient leur delire en dormant.

 Le chamane se cassa la gueule de son fauteuil par terre et du meme coup se reveille, en criant ;

 “ j’ai eu une revelation, on peut terminer la cerenonie, les Dieus mon parles et on pardonnes”.

 Et moi je me regalais a voir des comme des feus folets de couleurs, la drogue faisait effet. Surtout je m’etait relacher de savoir que la ceremonie pouvait se terminer, je voyais mal la situation de certain.

 La drogue faisant effet je me souviens plus de ce qui c’est passé, toujours est il que je recois en pleine figure comme un sceau d’eau, j’etais trempe, et je revois tous le monde debout autour du feu, le chamane entrain d’arroser tour a tour chaqu’un avec un espece de plumeau. Le soleil est leve. et l’on viens me souffler dans l’oreille ces mots :

 "cela me fait penser a un jet d’eau de CRS arosant les grevistes a un barrage routier autour d’un feu de palettes". La realite n’etais pas loin, la verite sort naturellement lorsque l’on ne l’attend pas.

 La ceremonie se termina, chacun recu un peut de sang secher d’aigle dans le creux des poigners avec une parole, pour moi ce fut : esprit fort.

 Nous partons tous dormir sur le plancher d’une grange amenager, enfin pas tous, il y a avait une fille, alors qu’elle ne faisait que de dire, pendant la nuit qu’elle aimait le prof est qu’il falait pas lui en vouloir qu’il ne soi pas venu, maintenant elle se faisait “baiser” (desoler pour l’expression, n’ayons pas peur des mots) par un parcipant a la ceremonie alors que sa femme ne dormait a cote de moi.

 Il y a toujours des lecons a en tirer, meme dans les plus grands delirs, on ne reste que des hommes avec ces forces et ces faiblesses. Surtout ne rien juger sur le coup de la colere, prendre du recul, et ne jamais se laisser prendre sa liberte de pensee , garder son esprit ouvert et lucide.

 Mon Maitre avait vue ce que j’allais vivre en rentrant en France et m’avait mis en garde de savoir me proteger.

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30 juillet 2006 7 30 /07 /juillet /2006 10:58

 Peut etre une mise garde pour ceux qui lirons ce recit.

 Comment une recontre, vous ammene a une autre recontre qui se termine par un stage de week end, fini par transformer une personne, moi.

 Peut etre du fait de mes perceptions de mon ressenti., et puisque cela fait parti de ma vie je vais vous la raconter.

 Mai 1999, Apres plusieurs stages de formations continus pour les enseignants en Qi Gong, je fais la connaissance d’une fille, Sandrinne, qui met tous en oeuvre pour me seduir, on reste un homme et un jour je descide d'aller chez elle avec un bouquet de fleur. Elle savait que je finirais par craquer et venir chez elle, j'avais demander sont adresse a une de ces amie qui c'est empresse de lui telephonner que j'arrivais.

 Elle c’etais mis en quatre et l’orsque je suis rentrer chez elle j’ai decouvert un embiance que si vous ni n'etes pas habituer vous reculez, des bougies alumees, de l’encens qui fume, de la musique news age,  des tabeaux et des gravures de Saint, de Sainte ou de Maitre.

 Apres un petit bisous de bien venu et un café qui etait entrain de passer, elle me dit qu’elle vient de lire un article sur une revue bio, qu’une Femme nommer Bagha, elle viens d’Auroville en Inde a cote de la ville de Pondicherie faire un stage en France le week end prochain dans un village a cote de Greoux les bains sur le plateau de valensol.

 Je la voyais toute excitee de savoir ca. je l’ecoutais parler de sa demarche dans cette vie extraordinaire qu’elle a, et aussi qu’elle suporte a cause de sa maladie qui est la thalassemie ( maladie genetique qui ne fabrique plus de globules rouge) et de vivre avec le sang des autres. Le café servit, elle me dit que j’arrive au beau moment, que le destin m’envoie et m’a amenner chez elle, pas pour rien. Elle doit partir le week end prochain en Amerique dans une secte qui travail sur le savoir des Maitre (j’ai un trou ,je me rapelle plus des noms) donc, elle ne partiper a ce stage et me demande d’y aller a sa place. Je veux bien, quand on essaye de sortir avec une fille on met ces chances de son cote et on ne refuse rien.

 Mais c’est quoi au juste se stage? Ca va parler de quoi ? elle me dit de venir tous les jours chez elle, qu’elle vas tout m’expliquer. Mais avant tout elle me dit que je suis venu pour d’autres intentions et s’avancant vers moi elle me pris mon visage entre ces mains et m’embrassa sur la bouche. Direct, franc , sans detour, decider, une fille qui sait se qu’elle veut, determiner.

 Pendant la semaine je viens tous les après midi, elle me sort des livres, L’agenda de Mere, le livre du mental des cellules ecrit par Saptrem, des livres de Shri Aurobido, je m’apercois qu’elle est un livre ouvert de connaissances sur le developement personnel et spirituel. Le soir nous passons la soiree a regarder la tele et a nous caliner et a parler de notre vie ou de choses banal.

 Je telephonne la veille du stage savoir si je pouvais y participer, et comme on dit qu’il ni a aucun probleme, c’est que je dois y participer. Pour Sandrinne le depart pour l’Amerique se fait le jeudi matin, et pour mon stage j’arrive dans la fin de l’aprem, dans un mas de Provence au milieu des champ de lavande sur le plateau de Valensol.

 Autour du diner, Je fait connaissance de Bhaga, celle qui va nous diriger, ou plutot nous conter comment travailler sur notre corps, sur nos cellules, pour ce debarasser de se que, les genes de nos parents, de l’education, du “on dit”, de ce que la societe nous impose, et empoisonne la memoire de la connaissance meme, de chaque cellule: de sa naissance, de son but et de sa transmission dans notre corps. La plupart du stage fut une longue ecoute du travail de “Mere”, le but que Shri Aurobindo lui avait demander, du travaille sur son corps, sur ces cellules pour que le monde puisse en trouver une certaine evolution. Je fus troubler du travail que “Mere” a pu apporter.

 Je ne vous presiserais pas ici le travail demander pendant ce stage, si vous voulez en savoir plus, sur ce qu’est le travail de “Mere” referez vous en aux livres (en vente dans toute bonne librairie esoterique )

 Le stage terminer, je rentre chez moi, et pendant trois semaines je n’ai plus qu ‘a attendre Sandrinne, son retour, et a essayer de travailler dans le meme sens que “Mere” avait fait au paravant.

 Quelque jours passent, Je me retrouve un midi au Quick avec ma fille, Aurore, pour sa reussite a un examen, hamberger frite au menu ( je suis sur que vous connaissez ca) Et je me mis a parler en mangeant, ce qui n’est pas trop mon habitude, et plus je mangeais, et plus je parlais de plus en plus fort. Ma fille se mis a me dire, que je me rend pas compte, mais tous le monde me regarde, tellement je parlais fort. Je me rendis compte que mon corps tremblais et que j'etais tres enerve, sans reson apparente.

 Quelque après ce fut a la maison en mangeant une truite, pas moyen d'avaler, je me sentais etouffer, deviner pourquoi, puis d’autres jours suivant, j’avais des reactions sur ce que je mangeais. Un jours impossible de manger quoi que ce soit sans souffler sans arret, Ma mere qui avait cuisiner avait preparer le repas en soufflant (en medecinne chinoise il apelle ca : le vent du foi, l’ernergie du foi bloquer par la colere, par les mauvets sentiments)et en marmonant, elle me dit qu'elle savait que de toute facon j'allais encore faire des dificulter sur ce que j'allais manger, puisque elle essayait une nouvelle recette. Et c’est une fois en mangeant des spagueties a la bolognaise que je compris ce qui se passait. Ma mere avait depuis longtemps remplacer la viande de la sauce par du toufu deshidrater, mais cette fois ci elle mis du steak ache dedans, parce quelle l’avait retrouver qui trainait dans le congelateur. Moi qui voulais me regaler, a la deuxieme boucher, j’ai eu des spasmes mulculaires comme j’avais au debut de mon accident, impossible de continuer a manger les pattes avec la sauce.

 C’etais devenu un enfer pour moi de manger, toute nouriture preparer sans Coeur, ou avec de la viande devenais impossible pour moi de ne pas le ressentir. Et plus j’avancais dans le travail et plus je ressentais des dificulter, je ressentais de plus en plus de choses, je devenais de plus en plus sensible. Je ressentais au travers de mon corps ce qu'emettais les autres personnes, maladies ou sentiments. Et je commencais a pleurer pour un rien.

 Lorsque Sandrinne rentra d’Amerique elle me raconta que jamais plus elle ne fairait cette experience de rentrer dans une secte Americaine. Elle m’explica les extravagances de ces americains. Je ne pus expliquer ce que ce que Bagha nous avait dit, pour elle cela apartenait a Bagha, a moi et a ceux qui ont suivi ce stage, et que cela ne pouvais etre ce que “Mere” a fait pour l’humanite.

 Un an se passe, pas sans dificulter, avec peut de haut et beaucoup de bas dans tous ce que pouvais faire ou mes relations. Je me detachais de tous, pour eviter de fondre en larme, je m'enfermais sur moi.

 Je recois un courier pour participer de nouveau au stage de Bagha, J’y vais pour aprofondir et comprendre ce qui se passe en moi.

 Cette fois le stage et au dessus de Apt chez une femme ayant une maison de campagne. Je revois des connaissances, des personnes du premier groupe et de nouvelles personnes qui sont leur eleves .

 Je me rend compte que tous, sont tres sensible, leurs sentiments sont a fleur de peaux, et que le “passage”, je dirais l’innibition de la foie Chretienne inscrit dans nos genes, et forcement dans nos cellules et tres dificil a effacer.

 Ce qui lirons l’agenda de Mere devrons etre attentif, certain ecrit sont dificiles a trouver et a reconnaitre que “Mere” parle de foie chretienne. Ce qui n'est pas en soit un mal, mais qui je pense est peut etre une entrave.

 En fait comme nous vivons en societe et que le "travail" qui nous est demander, et de retrouver la memoire originel nos cellules, quand elle refait surface, elle rentre en conflit avec ce qui l’entoure, de ce fait, la pensees, l’esprit, le corps et certainnement l’ame se s’accordent plus ensemble, du coup vous devenez : maniaco depressif.

 Vous travaillez sur vous , vous monter dans vote “travail”, vous grimper en fleche, vous voulez le faire partager, et vous avez en face de vous, tous pour vous barrer la route, La societe dans laquelle nous vivons,du coup vous vous effondrez.

 Je ne parcipa plus aux stages organise par Bagha.

 Je la remercie de m’avoir aporte cette experience suplementaire de plus dans ma vie. Ta foie et grande et genereuse. Sache te detacher de l’idolatrie que tu porte en toi, de ta foie religieuse et de l’adoration pour “Mere”. Je peus le comprendre que cela face parti de ta vie, mais elle te barre la route dans ton “travail", et sans le savoir tu le transmet aux autres. C’est mon sentiment et ce que j’ai ressenti.

 Et moi je reste avec ce que j’ai pu developer au travers de ce “travail”

 avec ces bons cotes ; une cicatrisation rapide de toutes plaies, ou le soulagement d’un mal sur une autre personnes, faire elever la vibration des aliments... 

et les problemes qu’elles developpent ; trops de sensibilites envers les autres, etre maniaco depressif...

 Aurevoir Bagha et a tous ceux qui l’entourais, on se reverra un jour.

 A j’oubliais, vous savez, tous ceux qui travaille dans le meme sens, lorsqu'on se croise, on se dit bonjour, on se reconnais, et on en parle, et pourtant juste quelques instants au par avant, on ne connaissait pas.

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28 juillet 2006 5 28 /07 /juillet /2006 14:01

Nous quitons le centre de maitre Shen Wei et Pekin pour aller a Tai Shan. Apres une nuit de train on arrivent Taijing au pied de la montagne. Mes douleurs ont disparues après les soins du Maitre, cela me sufisait largement d’etre libre de toutes contractures et maux. Claude etait contant de pouvoir manger n’importe quoi. L’asacienne ne faisait que dormir pendant les excurtions, les autres mitraillaient de photos ou filmaient leur voyage.

 Un nouveau Maitre nous accompagnait. Maitre Yin, une femme bouhtiste, d’un calme et d’une simplicite qui mettait en confiance. Apres une journee de repos et de petites visites aux alentours de l’hotel nous preparons pour le lendemain matin a grimper la montagne. Il prevois pour les moins costaux, comme moi un petit bus pour arriver a mis chemin de la montee et le telepherique pour terminer.

 Le lendemain au petit jour, je me sent d’attaque pour monter toutes les marches en pretextant que Maitre Shen Wei a ecrit : Etre en bas de la montagne,qu’il ni a plus qu’a la gravir. Il est 5 h du matin , c’est ainsi que je commencais a gravir les marches le debut est facil, quelques marches et paliers en devers. Tous doucement, qui ménage sa monture vas loin. Maitre Yin et monsieur Xion me suivaient a distance. Au palier intermediaire, il y a l’acces au telepherique. Je suis fatigue mais comme a l’habitude besoin de me surpasser, de prouver queques chose, je continu. Les marches sont de plus en plus difficiles, de plus en plus les volets de marches sont plus nombreuses, de plus en plus hautes et de moins en moins larges. Je n’avais qu’une canne pour m’aider a marcher mais l’achat d’une deuxieme canne s'impose, mes jambes trembles, il fait tres chaud, plus de trente degrees et ca n’arange rien a ma fatigue. Monsieur Xion et Maitre Yin, venais me soutenir dans mes nombreux arrets.

 La derniere volee de marches, putin que c’est rede, meme pas la place de mettre sont pied, pas asse large et il en a un paquet. Je vois la porte d’acces d’arriver, aller on pousse sur les cannes, et je pose les deux en travers sur chaque derniere marches, encore une, et c’est fini.

 Monsieur et derriere moi, pour me retenir, pour ne pas tomber en arriere, Maitre yin est sur le palier me tendant la main. Cest fini, plus de 8000 marches monter. Je prends mes cannes dans mes bras et je les donnes a Maitre Yin. Et je continu a marcher a decouvrir ce sommet sans mes canes. Plein de magasins, quelques hotels et des gimbardes de l’armee etalees partous pour secher. Il est midi et le groupe m’attend depuis bien longtemps, certains etaient arrive depuis 9 heures ,ils n’avaient mis que 3 a 4 heures pour gravir toutes les marches.

 L’apres midi se passent a virer dans toutes les boutiques et dans le temple taoiste au tuiles de fontes pour qu’il ne s’envol au vent. Puis direction l’hotel pour les etrangers ou on nous indique qu’il ni a qu’une bassine d’eau par chambre pour se laver et les toilettes, l’eau et acheminer a dos d’homme ou recuperer quand il pleu.

 Le landemain, reveil avant le lever du soleil, et oui, le but de cette montagne et de faire comme tous les chinois, faire ce pelerinage une fois dans sa vie, eux mettent un caillou ou un ruban rouge dans les arbres le long du chemin pour remercier d’avoir eu un enfant, et voire le matin le soleil se lever sur la plaine. Donc nous sommes intaller au bord de la falaise de la montagne face a l’est surplombant la plaine a voire la courbe de la terre.

 Ne croyer pas avoir le silence et l'adoration quand le soleil se leve, c’est une frenesie de que de voire tous ces chinois gueuler pour prendre les photos des premiers moments, juste quand le soleil pointe son nez. 

Ne croyer pas que les lieux sont sacret, parce que tous les papiers sac plastiques etc. sont jetes par le rebord de la falaise. Apres ce surprenant lever de soleil, pas un nuage a l’horizon, et cette deblaque du retour vers le bas, des que les chinois ont leur photos souvenir, ( c’est toujours aussi surprenant a voire et a entendre).

Nous, nous pouvons descendre quand on veut. Je ne me presse pas et je redescend tranquillement toutes les marches, mes cannes me servant tres peut pour redescendre. Je flanne et regarde toutes les petites boutiques est artistes en tous genre poster tous le long du parcours. J’arrive dans l’apres midi a l’hotel ou beaucoup du groupe se repose, tandis que moi j’ai mes cannes derriere le coups suportant mes bras mes plus mes jambes.

 Le soir nous allons tous manger au resto de l’hotel qui fait aussi sale de danse.

 Vous devinez pas ce que j’ai fait ?

 j’ai danser. Pour moi les bequilles c’etait du passer.

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26 juillet 2006 3 26 /07 /juillet /2006 08:52

Ce matin la matin de bonne heure sous somme aller d’abord dans un parc au nord de Pekin voir tous les chinois pratiquer le Qigong, le Taichi, la Valse ou le Tango et meme jouer au Criket.

Nous arrivons de nouveau dans le centre du Maitre et il nous propose un massage, puis quand viens mon tour, les tables de massages sont enlever, et Monsieur Xion me dit que le Maitre vas me soigner. On entend le Maitre parler au traducteur et il me dit de me mettre au milieu de la piece, je restais debout face a tous, qui c’etaient assis au fond de la piece. Je les regardais et j’attendais. Quand je n’ais plus eu le control de mon corps, mon bras gauche qui etait presque inerte se mis a bouger par secousse, puis mon corps se vrilla, tous mon poid se reparti sur la jambe gauche de mon emiplegie, mon corps c’etais tourne vers la droite et je regardais du coin des yeux gauche le groupe qui, je les voyais commenter a voie basse leur etonnement de la manipulation de mon corps par le maitre sans me toucher, A plus d’un metre de distance il me manipulait comme une marionette. Je sentais tous le poid de mon corps sur ma jambe gauche, presque en desiquilibre, et la fatigue qui me donnais l’envie de lacher et pourtant je ne pouvais rien controller. Après une vingtaine de minutes ma tete se libera et je la tournais vers lui, je le vie diriger ces doigts d’epet, d’une main vers mon coup et tourner legerement, mon corps suivais sa main pour reprendre une position normal. Un de ces fils adoptif apporte une chaise et je m’ecroule dessus. Le groupe aplaudit et me commentait ce qu’il avait fait..

Et nous passons a table Ce midi la, il y avait des bouteils de mao tai (alcool de Riz a 70) sur les tables. On vie boire beaucoups le Maitre et il nous remplissait les verres, et nous buvions pour n’importe qu’elle raison. Puis le maitre se mis a nous dire nos quatre verites a chaqu’un, tous le monde a pris pour son grade. Quand il est arriver a moi, il me dit qu’il voyait des grandes peintures chez moi et qu’il voudrait que je lui en face une. J’etais etonner qu’il puisse voire qu’avant mon accident je paigner des tableaux. De toute facon tous le monde etais etonner qu’il puisse lire dans la vie de chacun. Quand ce fut au tour de Chantal, il lui dit qu’il ne voulait pas la soigner, qu’elle peut se soigner toute seule le jour ou elle comprendra qu’elle faut quelle lache certainne chose. Ce midi la, le traducteur eu que quoi faire a nous traduire tous ce que le mettre debitait. Dans le debut de l’aprem meditation, pardon , cieste, et revision de se nous avions apris.

Dans la fin de l’aprem, le Maitre viens avec un gros radio cassette, et nous place dans la piece, chacun doit avoir sa place, sont espace d’energie, parceque nous allons pratiquer Qi Gong libre (laisser le corps libre dans ces mouvements, librerer l’ernergie, partir comme dans une trance gestuel ou pas, souvant accompagner de musique). Il me colle face contre le mur, et met la musique, un Cd que Kitaro, J’attendais, n’ayant jamais pratiquer le qi gong libre,je me retournais et je voyais le Maitre manipuler certainne personne qui partais dans des gestuels de contortion, de danse. Il vie que je le regardais et s’aprocha de moi, Monsieur Xion aussi et il me dit, “regarder devant vous et attender”. J’etais presque coler contre le mur, je n’avais que de la peinture du mur defrechi et sale a regarder et a ecouter la musique. Quand mes bras et mains , comme pour accueillir quelq'un, se mirent a monter devant moi, le mur avait disparu, une lumiere en forme de tunnel le remplacait et je vie des etres de lumieres venir a moi et me toucher, j’etais remplie de bonheur, j’en pleurais, que c’est beau, indescriptible la sensation de bonheur, Mes larmes en viennent encore au moment ou j’ecris ces mots, qu’un jour, vous qui me liser, puisse recevoir ce que j’ai recu, ainsi vous pourez me comprendre est je serais tres heureux pour vous de se partage.

Dans la soiree, ma seul obsession etait de mobiliser le groupe pour m’aider a trouver une grande feuille de dessin et des peintures. Mes douleurs etaient absentes et je redoublais d’energie, je passais une partie de la nuit dans la chambre de l’hotel a faire un tableau pour le Maitre.

Le lendemain c’etais la derniere matinee ou nous allions au centre, je lui presentais ce que j’avais fait pour lui. Contant il demanda a ce qu’ont lui apporte de quoi faire des calligraphies, il en fit pour quelque unes des personnes du groupe et pour une pour moi avec trois hideogrammes, voulant dire ; etre en bas de la montagne, maintenant il n’y a plus qu’a la gravir. C’est ainsi que je vous presente mon Maitre ; Shen Wei.

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25 juillet 2006 2 25 /07 /juillet /2006 08:49

17 personnes temoins de cette guerison spectaculaire de la jambe de cette patiente, on peut rester sans mot. Notre prof et docteur et ex enseignant a la fac de medecinne de Marseille dit au traducteur: “ Ont m’avait prevenu de votre savoir faire, c’est pourquoi après ce resultat plus que visible, je voudrais vous dire que dans notre groupe il y a trois personnes qui sont venu dans l’espoir que vous puissiez faire quelque chose pour eux, Il y a Marc,(moi) qui comme vous pouvez le constater, a eu accident grave,et qui aujourd’hui a des problemes de douleurs continuelles et des difulculter pour se mouvoir. Claude qui un probleme de sante, il fait de l’oeudem de quick , (grossiment de la glande tyroide provocant l’etoufement après absortion d’un aliment alergique, qui est dans sont cas tous qui est a base d’oeuf ou toucher un oeuf)est sa femme Chantal qui a un fibrom tres mal placer et casiment innoperable, est ce que vous etes d’accord pour que vous puissiez intervenir comme vous venez de nous le demontrer”. Apres traduction de Monsieur Xion aupres du Maitre celi ci repond: “ il n’est pas sorcier pour moi de voire vos problemes de sante, pour Marc, ce n’est pas grave, l’orsque j’etais encore jeune, j’avais 16 ans quand l’armee a fait incursion dans ma chambre et ma defeunestrer du troisiemme etage, j’ai eu une fracture des lombaires avec une paraplegie, j’ai fait apelle a mon Maitre qui m'a gueri, je fairai de meme pour Marc. Pour Claude ce n’est pas un problemme non plus, quand a Chantal nou en discuterons, Tous ceci ne sera pas sans condition de paiement, ici je ne fait pas payer les pauvres, ils me donnent ce qu’ils veulent, pour les etrangers, je fait payer ce qui permet d’ameliorer ce centre de soins” Notre prof se tournant vers nous, la reponse de Claude etais “oui bien sur, c’est pas un problemme” quand a moi je les regardais en disant”c’etais pas prevu au programme, je ne sais si je pourrais payer” Ils me repondirent :“si tu peus pas on t’avance l’argent”. Il etait l’heure de manger et le Maitre nous invite a passer a table. Après manger nous somme alles mediter dans son bureau, qui etait une piece asser fraiche et pendant que nous meditions, lui depouillait et lisait son courier. Juste avant de commencer le qi gong il pris Claude a part pour parler des conditions de paiements, puis dans l’aprem nous pratiquons avec ces deux fils adoptif. Dans la fin de l’apres midi, on revi le Maitre et il decide de travailler sur Claude. Il le fait s’assoir sur une chaise au milieu de la piece. Est on voie le Maitre gesticuler et avec ces mains en doigt d’epee, les diriger vers Claude. Claude avait ferme les yeux, et restait sans bouger , nous tous regardions sans boudger, sans un mot, en entendais que le souffle du Maitre. Apres quelques minutes, le Maitre s’arreta le regarda un instant et dit ”hao” Le traducteur monsieur Xion dit a Claude “c’est fini” Claude se leva et beaucoup d’entre nous dit : “alors” il ne su que repondre.. Le Maitre parla au traducteur qui nous dit :“ maintenant Claude peut manger ce qu’il veut, quand au condition de paiement, Claude a accepter de payer 250 Dolars, pour Marc, nous verrons demain et le prix sera de 50 dolars seulement, voila, maintenant nous devons partir” Nous remercions tous le Maitre pour cette journee, et nous prenons le car pour alle manger en ville. On mange beaucoup dans ce genre d’escurtion.

Nous arrivons dans un resto a L’etage, et comme a l’habitude chacun notre tour nous allons au toilettes, en revenant tous le monde en riaient et en discutaient, des toilettes dont l’odeur etait incommadente, sale, l’on pouvait voir les voisins manger en face comme il nous regardais aller au toilette et de plus les eaux debordais pour rejoinder les cuisines. Pour cerain l’apetit fut couper. Pourtant il y avait des mets suculant, Moi je me regalais et Claude en faisait autant, tout en faisant attention a ce qu’il ni avait pas d’oeuf dans les plats prepare. Puis soudain :“merde, il y a de l’oeuf dedant” s’exclama Claude, beaucoup on eu le refexe de lui dire que c’est pas grave, qu;il n’a plus a voir peur, qu’il peut en manger puisque le Maitre la soigner, on le vie rougir des Yeux, il s’arreta de manger et ettendit. Sa femme regardait dans son sac s’il y avait les injections pour parer l’oeudem. Et il dit “ c’est pas pariel, j’ai pas la meme reaction” mais sa femme lui demanda de faire attention et d’erreter de manger pour ce soir. Nous rentrons tous a l’hotel sans notre alsacienne comme d’habitude.

Le landemain matin, je me mettais a table pour le petit dej. quand je vois Claude tous souriant, Il vient vers moi et me dit: “Si tu n’a pas les 50 Dolars je te les avances, parce que regarde” il prix mes oeufs sur le plat, cassa un morceau de pain et le trampa dans le jaune d’oeuf.pour le manger. “regarde je peut en manger maintenant, et je suis sur qu’il peut faire quelque chose pour toi, c’est pourquoi je peut t’avancer les 50 dolars” Je lui repondit que je pouvais, que je les avais, tandis que tous le monde arrivais pour dejeuner et demandaient comment ca allait a Claude et il demontrait avec sourire mes oeufs au plat qu’il mangeait.

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19 juillet 2006 3 19 /07 /juillet /2006 13:00

Aout 1994

Apres un an de reeducation fonctionnel en tous genre, j’etais tres contant, on me dit : << maintenant, tu peus te torcher le cul tout seul, tu es considerer comme une personne n’ayant besoin d’une tierce personne, donc tu peut rester a la maison.>>.En colere vous vouler dire. Incroyable, penser qu’après un certain delais de temps on ne plus recuperer et que l’on vous dit de rentrer, puisque vous savez vous demerder tout seul. Pour certain, cela sera sufisant, pour moi, se cera une lutte de tous les jours, et encore aujourd’hui pour pouvoir recuperer le maximum de mes capacities.

Pour pouvoir recuperer encore plus de mobilite, je me suis inscrit dans une formation d’aptitude a enseigner le Qi Gong, (mouvements donnes au corps accompagner de respiration lentes, cela fait partie integrante de la medicine chinoise). Je connaissait le directeur de ce programme. C’est un docteur en accuponcture qui m’avait soigner pour des migraines que j’avais juste après avoir eu les vaxins de l’armee. Le jour de mon accident ma Mere allait se faire soigner chez lui, c’est pour ca qu’il etait au courant de mon andicape, et qu’il voulait que je m’inscrive dans sa formation.

Dans la fin de la deuxiemme annee on me demande de faire parti du voyage, destination la chine. Avec mon handicap, je me demandais si j’allais pouvoir, j’avais encore une hemyplegie gauche de 75 pour cent, je marchais avec des cannes et pas bien loin. On me repondi d’en profite d’etre entourer de medecins et de kine pour faire ce voyage et surtout, que l’on aller voire un Maitre qui pourra maider.

C’est comme ca, quand aout 1994 je suis parti avec Claude et Chantal (mari et femme) et 14 autres personnes, docteurs, kines et osteopates (faisant le meme curcius de qigong que moi). Nous atterissons tous a Pekin . Au programme une semaine a Pekin , chez un Maitre pour apprendre ces methodes de qi gong et le voire pratiquer son acuponcture, puis visite dans la chine.

Arriver a L’hotel des collines parfumer au nord de Pekin , planquer dans la foret au milieu d’un parc amenager. Je me rapelle tres bien de l’odeur de l’humidite dans cette hotel, de la voute de verre dans la grande salle d’accueil. Je vous passent les details car au moment ou j’ecris je me revionne les lieux, les gens...incroyable cette faculter de tous revoir avec autant de detail. Les lieux sont magnifiques est propisse a notre travail, et non, cela a ete mal choisi, tops loin, beaucoup trops loin, vous allez comprendre par la suite.

Avant je vais vous raconter l’annecdocte de notre alsacienne, enseignante pour des enfants. Au moment de la distribution des chambres, probleme, madame veut une chambre toute seule, pretextant je ne sais quoi. Hors toutes les chambres sont single et l‘hotel est complet. L’ambiance d’arriver avait legerement changer de ton, mais après un accord avec une femme de docteur, elle finie par accepter de prendre la chambre avec elle, parce que pour dormir, elle ni dormait pas ; tous les jours au soir elle partais pour revenir juste le landemain matin, pour se rechanger et prendre le bus avec nous et pouvoir dormir dans le bus.

Le premier jour au petit matin depart pour voir ce Maitre, apres 2 a 3 trois de bus dans des bouchons interminables de la ville de pekin, nous arrivons dans un quartier a l’exterieur ouest de Pekin, qui n’est pas un quartier de luxe, ou les maison sont bringbal, au toit de tole est au ruisseau degout puant qu’il faut passer sur des passerelles pour acceder a l’intereur des maisons. L’arriver dans ce quartier est surprenant, surtout que le car nous depose un peut plus loin et qu’on nous demande de ne pas se disperser. La vue des etrangers dans ce quartier avaient soulever des regards et l’amoncelement de personnent etaitent inquietant pour moi en tout cas.

Apres avoir 200m a pied sous pleins de regrard chinois, dans un chemin sur la gauche nous rentrons sous un porche de bois, pour entrer dans une cour interieur d’environ 5 sur 10 m. Notre guide dit bonjour a une femme qui nous propose d’attendre dans une piece autour d’une grande table, ou le traditionnel the vert nous est servies. Nouys apprenons que le maitre est maintenant occuper. Il falait attendre, puisque il nous attendaient de bonne heure et que nous avions deux heures de retard, et voila le brobleme du choix de l’hotel, beaucoup trop loin. Juste le temps de faire sa connaissance qu’il nous demande de passer a table. Les repas chez lui etais dignent des hotels, des plats decores et en abondance. Puis l’apres midi avec lui, a nous expliquer les fondements et principes de la medecinne chinoise. Le lendemain, re, 2 a 3 heures de route, arriver en retard, le Maitre nous attendais plus, et avait donne des ordres a d’autres personnes de nous enseigner un de ces qi gong, le corps de jade, Le midi nous mangions ensemble et dans l’aprem il nous a enseigner.

Troisieme jours, nous avions decides de partir de plus de bonne heures, sage decision.

A notre arrive, nous avons l’honneur de pouvoir regarder le traitement de patients par acuponcture, impressionnant sa methode. Puis un coup de telephonne nous fait savoir que l’hopital de Pekin lui envoie quelqu’un. Ont voie arriver une ambulance, des brancardiers apportes sur un brancard une femme qui se plaignait. Après l’ avoir deposer avec peut de delicatesse sur la table de travail du Maitre, il regarde brievement les radios, en disant; << que les docteurs francais s’amusent a regarder ces radiologies, moi j’en ai pas besoin pour comprendre est travailler sur la patiente>>. Après decriptage des radios par le docteur specialiste, il confirme ; fracture du plateau du tibia, avec deplacement de la partie fracturer. (la plus grosse partie du femur repose sur le plateau du tibia). Le Maitre commence par prendre une paire de ciseau pour decouper le platre. Une des personne de notre groupe demande pourquoi l’hopital de pekin lui envoie cette patient. La reponse et ;<< elle est dans le platre de maintien en attendant que le chirurgien sois revenue dans une semaine pour lui mettre une broche est comme elle ne peut pas supporter la morphinne pour calmer la douleur elle a demander a etre soigné par moi>>. Et on entend le craquenement du platre et les plaintes de douleurs de cette femme. Le pratre enlever on peut voire une jambe noire et aussi grosse que la cuisse d’un bout a l’autre. Le maitre pose la main en dessous du genoux et se met a nous parler des fondements de la nature, La patiente finie par se taire et ne plus se plaindre. Après un quart d’heure il commencais a enfoncer les doigts est a manipuler la jambe. La patiente ne disait pas un mot et on ne la voyait pas grimacer elle regardait. En posant sa main et en nous parlant, il avais hanalgesier sa jambe, maintenant il remettait l’os en place. Puis il prix une position de cavalier et avec ces mains q’il ne faisaient que de balayer a 20 cm au dessus de la jambe, il envoyait de l’energie. On vie la jambe se degonfler, passer du noir au bleu au vert au jaune, la jambe reprenait sa forme. Apres 40 mn en tous et pout tous il nous dit ; c’est fini elle peut marcher. Personne n’osait le contredire vue le resultat visuel de la jambe. La patiente s’assie sur le rebord de la table tenant la jambe raide, doucement, elle la plia.  <<zao, zao>> (marcher, marcher) Criai le Maitre, elle posa les deux pieds par terre. Le maitre l’attrapa par derriere est la souleva. Il lui cria quelque chose, on l'a vie plier l’autre jambe et il l’a lache, retombant sur la jambe qui etait auparavant casser .Le traducteur Monsieur Xion nous dit << C’est pour nous demontrer que ca tien, que sa jambe est reparee>>.

Elle est repartie en boitant, mais en marchant sans bequille.

 

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3 juillet 2006 1 03 /07 /juillet /2006 13:47

Peut etre une vie comme les autres,

 

Realiter, reve ou fiction, et pourtant je l’ai vecu et je le vie encore maintenant.

 

Tout peut etre revu dans ma memoire, jusqu’au plus petit detail je peus le revivre.

 

Je peus tous visionner dans ma tete, meme ce que j’ai vecu dans mon enfance.

 

Meme les paroles je peus les entendres.,

 

Une faculter qui grandi, qui me rend fou, du mal a gerrer, ma tete n’errete plus.

 

Une sensibilite qui me tue, qui me bouffe.

 

Trops sensible, beaucoup trops sensibles.

 

Je me sent mourir avec la souffrance des autres.

 

Avoir vue de l’autre cote du tunnel, Que c’est beau, avoir rencontrer ces anges.

 

Connaitre sa vie anterieur et connaitre sa vie future.  

Savoir sa mort, et vivre avec.

 

Sans que je demande quoique ce sois ont me donne, on m’offre,

 

je recois des inititions, , des secrets, des connaissances.

 

Je vie un amour impossible que l’on doit cacher,

je vous en dirais plus, chaque chose en son temps...

 

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