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PrÉSentation

  • : Vivre en Chine, mes Voyages, vie de tous les jours, mes amours, mes coups de coeur, ma vie après mon accident...
  • : Le plus belle amour que l'on puisse donner à l'autre c'est de le laisser libre. Celui qui reste, demeure dans sa prison. Loin de ma famille de France, au milieu de la Chine, j'attend celle que j'aime. Amour impossible puisque sa famille la remarié de force avec un autre chinois.
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Texte libre

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8 juillet 2006 6 08 /07 /juillet /2006 11:54

Historique

Un peut d’historique pour vous situer comment je connais Juliet.

Je connais Wudang Shan (*1A) depuis 1996 ou j’ai fait connaissance d’une famille. A cette époque peut de touristes venaient a wudang. Un jour, je revenais de promenade dans les montagnes, je trouve sur ma porte de chambre d’hotel, si on peut appeler ca un hotel, une feuille de papier scotcher avec ces quelques mots : “je teatcher inglish, je parle un peu francais , vouloir rencontrer parler vous, connaitre toi, addresses…”

Mon chinois etant tres simple a cette époque et non comprehensible, le dictionnaire etait ma deuxieme maniere de communiquer, après echance de deux ou trois mots trouver dans le dico avec la patronne de l’hotel, elle m’amenna dans une libraierie.

Une jeune femme, dirigeant cette librairie, et sont fils de deux ans m’accueillais. Dans la fin de journee, le mari apparue et m’expliquant, qu’il etait professeur d’anglais dans une ecole de wudang et qu’il aprennait dans les livres scolaire quelques mots de francais.

Je vous presante cette famille de wudang: Juliet, la femme, Zezi le fils et Victor le marie. Les parents portent des noms anglais pour plus de facilite dans les cours d’anglais, c’est leur truc a eux..

Cette librairie a cette époque, louait des livres et des revues lus et relus, et commencais a se specialiser dans les livres sur la culture de Wudang Shan : sur le taichi chuan, les arts martiaux…on aurais dit une brocante de livre plutot qu’une libraierie, avec comme dans n’importe qu’elle commerce, de quoi cuisiner au fond de la piece. A cette époque c’etais surprenant les conditions de ce que pouvais etre un commerce, et dans ce cas une libraierie.

En 1998 je retournais a Wudang avec ma fille, Fleur, et un ami, Philipe, et je retrouvais cette meme famille, la librairie commencais a avoir meilleur allure, l’apparition de vitrinne et de livres neufs. Leurs accueils etaient toujours plus grand que jamais.

Juillet 2005. Je repart en chine, après une quinzainne sur Pekin, le temps de me rehabituer et de revoir mon ami Xion Z.H.(*2A) .

Puis je pars pour un mois de visite a travers la Chine pour arriver debut septembre a Wudang Shan.

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