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PrÉSentation

  • : Vivre en Chine, mes Voyages, vie de tous les jours, mes amours, mes coups de coeur, ma vie après mon accident...
  • : Le plus belle amour que l'on puisse donner à l'autre c'est de le laisser libre. Celui qui reste, demeure dans sa prison. Loin de ma famille de France, au milieu de la Chine, j'attend celle que j'aime. Amour impossible puisque sa famille la remarié de force avec un autre chinois.
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Texte libre

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24 août 2010 2 24 /08 /août /2010 12:41

7 Mai

Nous voulons partir pour la visite de deux villages. Nous allons à la gare routière, muni de notre Loneley Planet, et nous demandons pour aller  à Matang avant d’aller à Xijiang, « Matang, wo bu chi dao zai nali »ils ne connaissent pas le village ??? Bon on va alors à Xijiang et l’on verra après.

P1000637.JPGQuand on arrive vue d’en haut c’est beau, en bas c’est chouette, bien arrangé touristiquement et ça reste traditionnel.

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Gros bourg Miao, la majorité des femmes sont en costume traditionnel, avec dans les cheveux en chignon  une grosse fleur de soie de couleur pétante. Tandis que chez les hommes seul les anciens sont habillés en traditionnel.

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Les magasins sont tous dans la rue principale et c’est les bijoux en argent qui sont fabriqués, la plupart sur place, qui sont les plus abondants.

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Nous flânons, c’est agréable, calme et vivant à la fois. Nous faisons un peut de prospection sur les prix des chambres, pas chère, maison traditionnel, bien aménager pour les étrangers, certains hôtel avec vue imprenable. Puis nous nous dirigeons vers la porte principale d’entrée du village ou une cérémonie d’accueil se fait tous les jours en fin de matinée, musique et représentation de costumes traditionnels, défilée de jeune fille Miao et de grand-mères.

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Les jeunes filles vous attendent en dansant au son de la musique des flutes de bambou, sur quelques pas, en vous offrant de alcool de riz servit dans une corne de buffle pour souhaiter la bienvenue. Les magasins me font craquer, j’achète bijoux en argent et des cornes de buffle. Après un bon repas, retour au car pour Matang, on se renseigne de nouveau, « ha ! Mais cen’est pas tout près, c’est  après Kaili, là sur la carte y a une erreur, ici c’est Langde, avant kaili ». D’accord,  y a une erreur sur la carte dans le livre guide, bon on comprend mieux pourquoi ce matin ils ne connaissaient pas ce village. Donc on prend un billet pour Langde, alors, le chauffeur nous dit que pour aller à Kaili il faut 25yuanns, qu’il faut changer avant en cour de route, donc 20yuanns ça ira, arnaqueur, nous prenons le car et nous descendons 15mn après à un croisement de route, et lorsqu’on prend l’autre car, il nous fait payer que 5 Yuans pour quinze minute de route. On nous fait descendre sur la route principal, et nous devons continuer à pied ou en moto, ils attendent le client au bord au départ de la route,  pour monter au village, un peu de marche à pied dans la campagne nous fera du bien, surtout que trente minutes plus tard nous sommes au village,

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il est petit, la particularité c’est comme il est accolé à une montagne, l’accès se fait que par des petits portes, aucun véhicule ne peux rentrée, y  a pas la place. Y a pas grand monde non plus, les seuls femmes autochtones que nous croisons finissent par donné l’alerte que deux étrangers sont dans le village, des femmes s’affairent à sortir leur panier remplis de babioles de souvenirs, de broderies faites à la main, de jupes et de vestes traditionnelles, c’est beau mais un peux chère.

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Comme on ne pensait pas que c’étai si petit, qu’on en a fait vite le tour,

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nous décidons de partir sur Kaili et de rejoindre si l’on peut avant le soir le village de Matant pour éviter de dormir en ville. Un bus nous descend sur la grande route, on attend que peux de temps pour un autre vers Kaili. A Kaili à la gare routière on nous indique qu’il faut aller sur une autre gare routière, une personne nous indique le numéro de bus qui nous mène vers l’autre gare, dans ce bus on nous indique nous qu’ au terminus il faut attendre en face du carrefour, juste au même moment que nous y arrivons, un dernier bus part vers la direction d’une ville passant par Matant. Au bout d’une heure on nous dépose sur le bord de la route.Une porte en béton qui enjambe une petite route, marqué aux idéogrammes du village, nous indique que nous somme sur la bonne route. Une demi-heure de marche à pied et nous y arrivons.

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Nous venons dans ce village parce que sur le guide il nous indique que c’est une ethnie Gejia  aux costumes différents.  La Déception est grande, nous nous attendions a un village au moins comme Langde, le village est encore pus petit et à moitié construit de maisons de briques et béton, le peut d’ habitants que nous croisons sont en tenu de Han de tous les jours. Et pas un seul hôtel, on fini par trouver quelqu’un qui veut bien nous parler, il commence à faire nuit et à pleuvoir. Il ni a donc pas de possibilité de repartir sur la ville. La seule possibilité et de se faire comprendre et de trouver à loger chez l’habitant, ouf ! Mais la parti n’est pas encore gagné, ils veulent en profiter, ma carte de guide  leur permet d’être un peux raisonnable sur le prix de la chambre repas compris. Quand le repas arrive je n’ai  plus pensée de leur dire : « pas trop pimenté » et comme je leur et dit que l’on mangeait comme eux ce fut une catastrophe : un Works,  bouillonnant, remplie d’un bouillon accompagné d’un  poisson plein d’arrêtes,  ne faisait que de remonter les piments en surface. Une bouchée m’a suffit de comprendre que ce n’est pas possible pour moi, dommage, je mangerais une autre fois. Nous dormons à l’étage dans une maison traditionnelle presque neuve. Elle est faite toute en bois, les cloisons donnant vers l’extérieur, comme ceux séparant les pièces,  son un peut ajourées certainement du à cause du séchage du bois, en tout cas l’isolation phonique et calorique et inexistante du au peut d’épaisseur des planches. La nuit se fera aux bruits de notre voisin qui rêvait, un homme du village, certainement là pour surveiller la maison, et des « groui groui » du cochon d’en bas.

Bon je ne peux plus pendant un certain temps continuer le récit de notre voyage, il faudra être patient, merci de votre compréhension.

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