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PrÉSentation

  • : Vivre en Chine, mes Voyages, vie de tous les jours, mes amours, mes coups de coeur, ma vie après mon accident...
  • : Le plus belle amour que l'on puisse donner à l'autre c'est de le laisser libre. Celui qui reste, demeure dans sa prison. Loin de ma famille de France, au milieu de la Chine, j'attend celle que j'aime. Amour impossible puisque sa famille la remarié de force avec un autre chinois.
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Texte libre

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 14:15

Nous montons dans le car, deux Françaises attendent pour une place, n’ayant pas réservés elles se retrouvent sur des petits fauteuils pliants au milieu de l’allée. Ont fait connaissance, on parlent, on échangent un peu les places. Lorsque l’ont arrivent a Fenghuang vers 13h30, on descend sur un parking en dehors de la ville, rien nous indiques ou aller et comment y aller. C’est le principal défaut de la chine touristique, comme tout est prévu pour les groupes organisés, ceux qui voyages autrement, et surtout les étrangers, démerdez vous. Et si vous demandez un renseignement, quand vous êtes compris, soit on vous dirige mal, soit vous êtes sur de vous faire arnaquer.

Comme nous voyons tous les chinois se diriger sur un car de ville qui attend un peut plus loin, nous faisons la même chose, le mouvement de masse est parfois porteur de bonne chance. Nous arrivons après quelques minutes dans la ville touristique, on traverse un pont et presque tout le monde y descend. A peine descendu, un peut agressé par des vendeurs et des rabatteurs : « bigwan, bigwan » (hôtel), non, les filles ont faim et le collègue encore pire. Après un repas nouille, c’est le plus facile et le plus économique en chine, recherche de chambres, visite, ouai, pas mal pour le prix. Les filles préfèrent voire plus loin, je crois qu’ils préfèrent plus rester entre eux deux. Le collègue s’installe sur le lit de la chambre et envisage une sieste, je m’y installe aussi, mais l’envies de découvrir me raccourci la sieste et je part seul dans le village. Pleins de petites rues comme je les aimes, je m’y perd un peut, je regarde les maisons et battisses de bois que cachent les étalages d’une fourmilière de magasins et de marchands ambulants, pas un mètre carré de libre, je visite les intérieurs plus par curiosité de regarder les maisons que de ce qu’ils vendent, quoi que quelques magasins de peintures sur tissus traditionnelles me fond toujours craquer. Faire gaffe ou l’on marche, les rues sont paver de leurs dalles anciennes et ne sont pas très d’aplomb ou déformées par le temps. Des pousses pousses passent dans les rues étroites et les étalages débordent. Des cafés restaus s’alignent sur les premiers étages des maisons coller aux berges, avec vue sur la rivière, ou des petites barques à rame fond l’enchantements des touristes pour une ballade au fil de l’eau. Y a de quoi voire sur moins d’un kilomètre de berge. Vers la fin de l’après midi, sur une berge qui fait plus office de place, des jeunes gens et surtout les jeunes filles venus en touristes s’habillent de costumes traditionnels, ou de l’armée populaire ou de l’armée des anciens empereurs, ou d’autres,  pas toujours de bon goût,  et surtout, ne pas oublier la photo…Deux passerelles étroites en pierre fond office de pont piéton, le  croisement si fait avec préhension et avec attention à ne pas pousser celui qu’on croise dans l’eau. Le soir les illuminations des maisons de bois sur les berges et par le reflet de l’eau donne un coté un peut feu d’artifice.

Dans la soirée je rentre à l’hôtel, le patron me propose des billets pour aller voire un village Miao, je rejoint le collègue, j’en discute, on pensent y aller. Mais pour ce qui est de la soirée, il veut faire un tour dans un « wanba » (café Internet), je vais avec lui, j’ai besoin d’acheter une recharge pour mon téléphone et je vais y voire mes emails. Pour cela nous sortons des remparts de la vieille ville, lui il veux y passer la soirée à discuter avec sa copine par Webcam, moi une fois regardé les nouvelles, je dégage, parce que ces lieux ne son pas régi sous une loi d’endroit non fumeur. Après avoir grignoté en achetant sur les restaus de rue (chao kao dienne) je retourne dans les rues de la vieille ville et sur les berges.

Je flâne, je regarde, j’écoute la musique des restaus. qui ce transforment en dancing au fur et à mesure que la soirée avance.

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