4 Mai
Nous partons pour Chenjiang, nous devons passer par la ville de Sanjiang, quand nous y arrivons, nous faisons comme indiqué sur le guide, nous prenons à droite ne sortant de la gare routière Est, nous traversons le pont, puis encore à droite, et nous cherchons la gare routière Ouest, nous descendons un peux la rue nous demandons, ha ! c’est plus haut, nous remontons et on arrive de nouveau presque au pont, pas vue la gare routière, nous redemandons, à c’est là, oups ! Coincé entre des magasins un escalier ou en haut de la porte une pancarte indique le dessin de vente de billets, fallait la voire. Mais lorsqu’on veut pour monter, une femme dans un car aux idéogrammes au nom de Chenyang, sur une pancarte derrière le par brise, sort sa tête de la porte d’accès au bus et interpelle les gens dans la rue pour partir. Je lui fait signe, je m’assure que le car vas bien ou je veux allé, et on embarque. Après une bonne demi-heure, on sait que l’on est arrivé, une barrière et une billetterie nous donne le droit d’accès de l’autre que si l’on paye. J’ai de la chance ma carte de guide me permet de ne pas payer, pas comme hier pour la montagne ou ça n’a pas marché.
On démarre la visite par la traversé du pont du vent et de la pluie, et pour accéder aux villages. On dirai que le pont porte bien son nom, le temps et plutôt incertain.
On trouve en entrant l’hôtel indiqué sur le book du guide, poussé par ma curiosité je fais dix mètres de plus pour trouver un hôtel qui m’attire, dans la plus pure tradition des constructions, tout en bois,
décors sympa, peintures, dessins au crayon des environs, les proprios jeune et sympas, et les chambres très bien, le prix au plus bas. On commence un peu la visite du village et à la recherche pour déjeuner, hum ! pas évidant, pas de prix affiché, pas forcément ouvert.
Le temps continu à ce gâter, même quelques goutes d’eau s’annoncent, dommage une ballade en vélo pour aller sur un autre village était indiqué,
on traine au travers les ruelles et les villages reliés par d’autres pont de bois.
Seule une construction en parpaings ce différencie des autres bâtisses de bois, et beaucoup de nouvelles constructions sont en cour.
Le soir nous mangeons au restau de notre hôtel, surprise, sur la carte, des pâtes italiennes à la bolognaise, ouah ! Surprenant, on va voire ça, excellent, on en félicite la chef cuisinière qui n’est que la patronne des lieux.
Bon ici le soir pas de Karaoké, t’en mieux, on pense dormir au sondes grillons, oups ! Qu’est ce que c’est ces voix ?
On est à deux cents mètres d’une salle commune de réunion.Tous les jours les hommes du village se réunissent pour délibérer les affaires du jour, de demain, etc. Sa parle fort, la salle est de bois ajouré, donc on entend bien, ça fait même un peux caisse de résonance, et sa parle longtemps…Alors nous on regarde la télé du coup en attendant que la réunion se termine.
Le matin nous somme réveillé par les travaux quotidiens, et par les travaux de la maison qui construise à côté. De toute façon on a de la route. On aurais passé une journée de plus bien volontiers c’est beau mais le temps n’est pas de la partie.