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PrÉSentation

  • : Vivre en Chine, mes Voyages, vie de tous les jours, mes amours, mes coups de coeur, ma vie après mon accident...
  • : Le plus belle amour que l'on puisse donner à l'autre c'est de le laisser libre. Celui qui reste, demeure dans sa prison. Loin de ma famille de France, au milieu de la Chine, j'attend celle que j'aime. Amour impossible puisque sa famille la remarié de force avec un autre chinois.
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Texte libre

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31 octobre 2009 6 31 /10 /octobre /2009 09:27

Pour plus de compréhension sur le déroulement du voyage, commencez par le début  clic ici

Nous rentrons de notre expédition de la journée, du village des Miao, vers les 5h de l’aprèm à l’hôtel, le patron des lieux nous propose une autre journée dans un autre village, une autre ethnie, mais le collègue préfère partir demain, il veux se reposer pour l’instant pour aller plus tard encore passer la nuit sur Internet, apparemment il a un problème. Pour ma part je décide de nouveau parcourir les ruelles et les bords de la rive de ces lieux, et je ne serais pas seul, lors de notre journée j’ai fait connaissance d’une photographe de Pékin que j’avais aperçu à hôtel, et lorsque j’ai voulu sortir elle était dans la salle d’accueil et m’a demander se que je faisais, je lui répondu : promenade, et je lui est demandé si elle voulais venir avec moi, ce qu’elle ne refusa pas. Etre accompagné avec quelqu’un qui est du pays et est qui est de plus une charmante Chinoise n’est pas désagréable. La soirée était pleine de découverte, d’explication de compréhension, et d’incompréhension, je n’avais pas pensé à prendre mon « traducteur » (dictionnaire) avec moi.

Le lendemain fallait faire bouger le collègue, et départ pour Jishou, par le car, trois heures de routes. Arrivé, direction la gare pour réserver nos billets de train pour le retour, je trouve cela un peut « chiant » de pendre les billets a l’avance, cela nous contrains à délimiter notre séjour, donc si on veux rester plus sur les lieux, on ne peut pas, enfin si on peut toujours. Déjà prendre un billet c’est souvent faire la queue pendant un bon moment, et quand vous y êtes on vous dit que c’est pas le bon guichet, ou vous n’arrivez pas a vous faire comprendre, ou comprendre ce que dit l’employée derrière sa vitre qui parle dans un haut parleur au son inaudible, sans compter le bruit dans le hall ou du chinois qui parle à la même employée que vous, par-dessus votre épaule, alors faire échanger d’un billet et un peut le parcourt du combattant, même en sachant parler le chinois. Et ne pas réserver peut s’avérer à passer notre voyage debout dans le train par faute de place, expérience à faire.

Comme il est midi, déjeuner aux abords de la gare dans un bibouis, on nous a prix pour des touristes d’affaire, bouffe dégueu et chère, et cela arrive très souvent, au moins quand vous allez dans un Mac Do ou KFC, vous savez ce que vous mangez et les prix sont affichés. En sortant je me suis rabattu sur un paquet de gâteaux acheté dans une superette pour combler le vide de mon estomac.

Le mini bus pour Dehang se trouve sur le coté de la gare, trois quarts d’heure suffisent pour y arriver, on est les seuls touristes étrangers pour l’instant. Prise d’une chambre d’hôtel, pour le collègue, la même habitude, dormir, et pour moi découverte des lieux.

Petit village tranquille, coincé entre trois vallées aux falaises découpées aux couteaux. Toutes petites ruelles aux maisons de bois est pont de pierre en voûte, chemin aménagé, on rencontre les gens du village dans leurs occupations, Dames âgées tisserands, Hommes vanniers, restaurant typiques ou magasin de souvenir, ou simple villageois affairer dans leur tache quotidiennes, habillés la plupart dans leur costumes traditionnels.

Dans la fin de l’aprèm, trois, quatre autres étrangers arrivent avec des différents mini bus, dons un, la tête sortant du mini bus, regardant de partout ou il atterrissait. La guitare dans le dos il se dirige vers nous. La discussion avec mon copain, qui avait fini de récupérer de son manque de sommeil, commence en anglais, et après quelques phrases je les interromps en leur disant d’arrêter de parler l’anglais et qu’il ferait mieux de parler français pour mieux ce comprendre. C’est très marrant de rencontrer des Français et de croire que l’on est obligatoirement anglophone, le réflexe est de se parler en anglais, mais un français qui parle l’anglais est très typique et reconnaissable dans sa prononciation. Nous avons passés la soirée ensemble, originaire de Corse il nous racontais son tour du monde, amoureux de la nature il nous décrivait les paysages qu’il a vue, ces bons moments en Amérique du sud, et un peut ces déboires. Nous tardions, comme tout bon Français, à table, nous avons oubliés que nous étions dans un petit village et que tout le monde ferme de bonne heure, y compris les restos.

Normalement le soir on danse sur la place et en repartant à l’hôtel, ont voie les gens du village jouer avec de gros dés de 40cm de côtés comme au casino, avec de l’argent bien entendu. Nous passons une nuit dans un calme de campagne aux sont des grillons, des cris des oiseaux de nuit, des chats qui miaule et qui finissent par se battent et des moustiques qui avionnent. Le lendemain, levée au petit jour, surprise, au village ça tarde à ce lever, je connais les chinois beaucoup plus matinaux, mais a quoi bon ce lever de bonne heure quand le premier car de touriste ne vient que vers 8h30. En tout cas bien agréable, fraîcheur des lieux et peut de bruits, les restaus pour les petits déjeunées ne débordent pas dans les ruelles et les échoppes s’ouvrent doucement. Vers l’entrée du village, dans la matinée à 9H30 et dans l’après midi à 15h, et pendant 20mn, sur une place de représentation en pleine air aménagé et ombragé, un défilé de mode de jeunes filles et de jeunes gens habillés de costumes traditionnels, vous présentent les différents costumes des ethnies et de quelques traditions, cela fait vraiment défilé, mais c’est beau. Pour clore le spectacle on met à contribution quelques jeunes hommes venus en touriste, pour un jeu traditionnel de tire à la corde contre les filles, attention, on n’y est pas gagnant.

Voilà, ballade dans une des vallée, chemin aménagé mais reste sauvage, et on attend le dernier car du soir pour repartir sur Jishou et attendre notre train. Notre billet pour Xiangfan annonce le train pour 3h15 du matin, on finira par embarquer à 4h30 du matin, dur dur.

J’espère que cette petite excursion vous a plu, on ne peu pas mettre toutes les photos, mais une reste insolite, elle a été prise sur les bords de la rive à Fenhuang, pas besoin de traduction.

 

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commentaires

Y
<br /> Moi aussi, tu vas m'emmener me balader en Chine comme ça, je compte sur toi, je vais rien lâcher :)<br /> <br /> <br />
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