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PrÉSentation

  • : Vivre en Chine, mes Voyages, vie de tous les jours, mes amours, mes coups de coeur, ma vie après mon accident...
  • : Le plus belle amour que l'on puisse donner à l'autre c'est de le laisser libre. Celui qui reste, demeure dans sa prison. Loin de ma famille de France, au milieu de la Chine, j'attend celle que j'aime. Amour impossible puisque sa famille la remarié de force avec un autre chinois.
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Texte libre

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9 août 2010 1 09 /08 /août /2010 15:43
  

 

27 Avril :

De bonne heure nous partons, en car, et pour éviter de le répéter à chaque voyage, je le précise, tout ce fera en car,

carte chine zhaoqing

donc nous partons pour  la ville de Foshan nommé la colline du Bouddha, à 19km au Sud Est de GuangZhou, ce lieu fait partie des plus anciens centre de fabrication de poteries chinoise, remontant à la dynastie Ming. En fait nous allons à la ville Shiwan (au bout de Foshan) pour arrivé dans une rue de magasin de poteries aux maisons bétonné refaites  au style bien chinois, au milieu de la rue l’entrée du musée de porterie,

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inclue la visite du vieux village,

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  et deux "fours dragons"à poterie de 30m de longueur,

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sur le guide il précise, en service depuis l’avènement des Ming et jamais éteints depuis ??? Moi  j’ai vue les araignées qui y ont fait leur toile depuis un moment et je suis rentré dans le four pour y prendre un peu de fraicheur, frais pour un four en fonction !!!

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Bon la visite vaux le coup si vous avez du temps ou par ce que vous passez par là ou comme moi qui aime les poteries et qui pensiez voire quelques chose de beau.

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Visite fini le midi et premier déjeuné pour Yoann en Chine dans le plus petit restau de rue qui sert pour ouvriers, tout est cuisiné, on montre du doigt ce que l’on veux, il vous met ça dans un petit plat, un bol de riz offert, et voilà, c’est varié , c’est local et pas chère 5 yuans/ p.

L’aprèm, direction Zhaoqing, ville en bord de montagne avec lac,

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ville agréable, frais dans la soirée grâce au lac, promenade sur les bords ou en bateau, sur les rives jet  d’eau dansant sous une musique plutôt martiale, devant la grande place ou chaque mètre carré est marqué et à acheter pour participer au show dansant bien chinois du soir. C'est aussi une vieille ville fortifier au milieu d'une ville moderne.

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Nous avons choisi cette ville comme point de départ pour aller visiter le lendemain les deux villages appelés « village bagua ».

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8 août 2010 7 08 /08 /août /2010 08:52

Lundi 26 Avril.

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En premier nous partons à l’agence que je connais pour faire renouveler mon visa, et pour faire un visa pour Yoann, aucun soucis en vue, je connais la personne de l’agence et comme ce n’est pas la première fois cette année que je le fait, nous l’aurons dans la fin de l’après midi. Nous partons  sur l’île d’en face, la plus connu : Hong Kong Islang. Nous arrivons en métro à la station « la central » pour parcourir les petites rues qui traversent de droite et de gauche le boulevard « Queen’s road » dans le Sheung wan, une manière de ce plonger dans des petites ruelles pittoresques d’échoppes, de poissons, de fruits du monde entier, de bazar, d’antiquités et de souvenirs, et comme il n’était que dix heure les magasins s’ouvraient  la foule des touristes n’était pas encore là, seul les autochtones s’affairaient à leur affaire , donc tranquillité

 

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Dans notre quête de découvertes, et déambulant de rues en rues nous passons par le magnifique temple Taoïste de Man Mo coincé entre deux vieux immeubles et en arrière plan les grattes ciel coller à flan de colline.

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Nous irons jusqu'à « new Market street » et l’embarcadère des bateaux à turbines  pour le départ  vers Macao.

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Ce petit tour dans ces ruelles qui ne prend que deux tranquilles heures, nous plongent dans un univers de contrastes. Et comme nous nous n’avons pas encore eut assai, nous repartons en plein milieu de ce quartier, « SOHO » pour déjeuner.

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Juste après encore quelques rue et nous nous dirigeons vers le funiculaire, le Peak tram, ou nous prenons un ticket pour monté le long du Victoria Park et au dessus des grattes ciel jusqu’au pic. Toujours impressionnant la montée, vous êtes collé au siège par le degré de la pente, c’est un câble qui tire le funiculaire.

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Arrivé en haut un petit café avec vue sur la baie, et comme dit Yoann, j’aurais parié que l’on arrivait en haut dans un magasin que j’aurais gagné.

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Quelques photos souvenir, un peut de balade, et un arrêt long sur cette ville martienne, on peut vraiment l’appeler une ville d’un autre monde, avec ces grattes ciel fait comme un jeux de laigo entrecroiser de pièces démesurées d’électronique  grâce aux structures d’immeubles très étranges et ces panneaux géants lumineux de publicité de toutes sortent. Nous redescendons par le funiculaire

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pour traverser « Central »toujours à pied et atteindre les embarcadères des bateaux pour traverser la baie.

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De retour à l’hôtel vers 17h pour prendre nos sacs à dos et ce diriger vers l’agence pour récupérer nos visa. 18h on prend le métro direction  la frontière. Passage sans trop de difficulté mais beaucoup de monde. De nouveau le train pour  Guangzhou pour aller à l’hôtel, mais a force de ne pas ce presser on  est arrivé un peu tard, 22h, de plus le nouvel  hôtel soit disant pas chère trouvé par notre guide lonely planet ce trouve un peux déporter par rapport à la ville. Quand nous y arrivons, faute de bien demander ou il se trouve, c’est  « bien indiqué » mais pas facile à trouver, les chambres sont hors de prix, donc on retourne à l’hôtel ou j’ai l’habitude d’allé sur l’île de Shamian, mais là, surprise aussi les prix sont drôlement à la hausse aussi, mais comme il est 23H pas le choix , on prend a regret, à croire que soit le fait qu’ils sont sur le nouveau guide qu’ils se permettent d’augmenter les prix ou parce que ils savent qu’on a plus guère le choix dans ces heures tardives.

Quelques insolites pour le fun:

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25 mai 2010 2 25 /05 /mai /2010 16:39

25 avril, après un réveil un peu dure du au décalage horaire pour mon ami Yoann, nous allons visiter  Hong Kong, comme c’est dimanche je lui propose de quitter le centre ville, fuir la foule et le bruit. Donc nous prenons le livre guide de Lonely planet, version fin 2009 traduit en Français, ce qui nous met déjà un an de retard par rapport à la version anglaise, et nous nous dirigeons vers les petits villages du nord de kowloom, dans le news territoire , le village de Kat Hing Wai,  et Shui Tau. Après un long trajet de métro, l’indication pour aller au village noté sur le guide n’est pas évidente, un peut d’hésitation, à droite ou à gauche, en fait c’est qu’une question de sortie du métro, on ne sait pas trop quelle sortie prendre. Nous trouvons l’arrêt de bus, et il fallu que l’on demande pour, quand même ne pas ce tromper de car, aller au village de Kam Tin. Une fois arrivé au début du village, donc à la première station, rien ne vous indique de plus pour aller Shui Tau. En fait la rue juste à gauche en descendant du car c’est la bonne, passer sous le tunnel de la grande route, passer le canal, au début du village à gauche des pancartes indiquant ce qu’il y a à voire, vous vous enfoncer dans le village. Quelques ruines entrecoupées de quelques maisons traditionnelles restaurés entourées eux par de maisons modernes et au bout un arbre qui explique qu’ils ne savent pas de combien d’année il peut avoir, et à quoi servait la maison que l’arbre à envahie et recouvert de ces racines. PIC 3136    Tranquillité assuré parce qu’il n’y a rien d’extraordinaire à venir là.

PIC 3133

Retour à la station de Bus pour trouver l’autre endroit, le minuscule Kat Hing Wai, en continuant la route vers le Nord vous y  arriver 5mn après la station de bus ou vous êtes descendu, ne vous attendait pas à voire quelque chose d’extraordinaire, une ville coincé dans la ville Kat Tim, dans des remparts (dans un mur) de 500m au carré(approximativement) entouré d’eau des égouts de cette même ville(très odorant), à l’intérieur  des maisons normales qui se touchent dans des ruelles de 1m de large, avec une femme en costume « traditionnelle » qui épluche des vers d’oignons à l’entrée. Bon, retour au métro, manger une Pizza, et pourquoi pas hein ! Et retour à Tsim Sha Tsui pour le marché de nuit, dans la rue qui descend en parallèle du boulevard Mathan derrière le temple Tin Hau(descendre à la station Yau Ma Tei. Et comme dit Yoann, ce que l’on trouve dans ce marché de nuit se trouvent dans toutes les boutiques à touristes. C’est l’ambiance des petits  restos pas trop chers, et des étales aux lampes branlantes qui fait son charme, de tout pas chère mais en négociant dure dure.

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Il n’y a pas plus de photos, une erreur de manip sur un appareil a effacé les photos et plus de batterie sur l’autre appareil, on fera plus attention par la suite pour éviter ce désagrément.

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24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 15:59

Le 24 avril départ pour Hong Kong, arrivé à Guangzhou,  pour les Français on nomme la ville Canton, départ de Liulipin 10h20, arrivé Guanzhou 5h30, après 17h de train, petit café au KFC du coin, et re le train pour ShenZheng pour passer la frontière de Hong Kong.PIC 3113 PIC 3116    Je mets les pieds dans les rues de Tsim Sha Tsui Est de la presqu’ile de Kowloom à 9h du matin. Objectif, trouver une chambre. Je vais d’abord rejoindre un couple de Français qui mon précédés de quelques jours, et qui eux, sont tombés en pleine débâcle des Français bloqués, voulant rentrer en France et ayant  les vols annulés  à cause des cendres volcaniques au dessus de la France. Pour eux, ce fus la galère pour trouver une chambre pas trop chère, pour moi la crise étant passé je pensais que cela pourrais aller, mais comme on était vendredi ce n’était pas gagné. Je vais voire à l’hôtel que j’avais vu au mois de Janvier et qui me proposait des chambres  à 250$ mais là, le prix était de 800$, après avoir poussé une gueulante,non merci, je me rabats sur les deux immeubles restaurés des Chungking Mansions. PIC 3125    Et hop ! On fait un étages : 1, 2, 3 hôtels, puis un autre étage, 1, 2 hôtels, puis encore autre étage, « y a boire et a manger », du restauré à la vas vite au restauré raté, à l’hôtel sans en être un, de la chambre sans fenêtre et au matelas défoncé. Beaucoup vous disent que c’est plein et qu’il faut revenir à midi pour savoir s’il en a qui se seront libérés. Je sors et je fais le deuxième immeuble, PIC 3119    à l’entré comme dans tous les quartiers de cette endroit, des Indous vous interpellent pour vendre copies de montres, vêtement sur mesure, etc. et chambre pas chère, moi, poliment je rejette toutes propositions. Puis sur le trottoir une fille me dit en me tendant une carte de visite : « Guest house », je lui demande en chinois si elle a des chambres de libre et me répond qu’elle en a, je vais voire, petite merveille coincé parmi les ateliers de coutures, avec salle bain sur 2m carré et vue sur la rue, à 200$ la nuit, je prends. P1000258    Juste le temps de me reposer une demie heure pour après prendre le bus,  l'arrêt de bus est juste en face de l'hôtel, pour l’aéroport, , ou je dois rencontrer un Français du nom de Yoann, avec qui je correspondais sur MSN, et don son désir était de venir à Wudang apprendre du Taï chi. On c’était arrangé qu’il atterri le jour de mon arrivé sur Hong Kong, pour visiter et voyager ensemble pendant les jours qui vont suivre.

un lien pour lire le blog de Yoann, ces commentaires et  sa découverte de la Chine.

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31 octobre 2009 6 31 /10 /octobre /2009 09:27

Pour plus de compréhension sur le déroulement du voyage, commencez par le début  clic ici

Nous rentrons de notre expédition de la journée, du village des Miao, vers les 5h de l’aprèm à l’hôtel, le patron des lieux nous propose une autre journée dans un autre village, une autre ethnie, mais le collègue préfère partir demain, il veux se reposer pour l’instant pour aller plus tard encore passer la nuit sur Internet, apparemment il a un problème. Pour ma part je décide de nouveau parcourir les ruelles et les bords de la rive de ces lieux, et je ne serais pas seul, lors de notre journée j’ai fait connaissance d’une photographe de Pékin que j’avais aperçu à hôtel, et lorsque j’ai voulu sortir elle était dans la salle d’accueil et m’a demander se que je faisais, je lui répondu : promenade, et je lui est demandé si elle voulais venir avec moi, ce qu’elle ne refusa pas. Etre accompagné avec quelqu’un qui est du pays et est qui est de plus une charmante Chinoise n’est pas désagréable. La soirée était pleine de découverte, d’explication de compréhension, et d’incompréhension, je n’avais pas pensé à prendre mon « traducteur » (dictionnaire) avec moi.

Le lendemain fallait faire bouger le collègue, et départ pour Jishou, par le car, trois heures de routes. Arrivé, direction la gare pour réserver nos billets de train pour le retour, je trouve cela un peut « chiant » de pendre les billets a l’avance, cela nous contrains à délimiter notre séjour, donc si on veux rester plus sur les lieux, on ne peut pas, enfin si on peut toujours. Déjà prendre un billet c’est souvent faire la queue pendant un bon moment, et quand vous y êtes on vous dit que c’est pas le bon guichet, ou vous n’arrivez pas a vous faire comprendre, ou comprendre ce que dit l’employée derrière sa vitre qui parle dans un haut parleur au son inaudible, sans compter le bruit dans le hall ou du chinois qui parle à la même employée que vous, par-dessus votre épaule, alors faire échanger d’un billet et un peut le parcourt du combattant, même en sachant parler le chinois. Et ne pas réserver peut s’avérer à passer notre voyage debout dans le train par faute de place, expérience à faire.

Comme il est midi, déjeuner aux abords de la gare dans un bibouis, on nous a prix pour des touristes d’affaire, bouffe dégueu et chère, et cela arrive très souvent, au moins quand vous allez dans un Mac Do ou KFC, vous savez ce que vous mangez et les prix sont affichés. En sortant je me suis rabattu sur un paquet de gâteaux acheté dans une superette pour combler le vide de mon estomac.

Le mini bus pour Dehang se trouve sur le coté de la gare, trois quarts d’heure suffisent pour y arriver, on est les seuls touristes étrangers pour l’instant. Prise d’une chambre d’hôtel, pour le collègue, la même habitude, dormir, et pour moi découverte des lieux.

Petit village tranquille, coincé entre trois vallées aux falaises découpées aux couteaux. Toutes petites ruelles aux maisons de bois est pont de pierre en voûte, chemin aménagé, on rencontre les gens du village dans leurs occupations, Dames âgées tisserands, Hommes vanniers, restaurant typiques ou magasin de souvenir, ou simple villageois affairer dans leur tache quotidiennes, habillés la plupart dans leur costumes traditionnels.

Dans la fin de l’aprèm, trois, quatre autres étrangers arrivent avec des différents mini bus, dons un, la tête sortant du mini bus, regardant de partout ou il atterrissait. La guitare dans le dos il se dirige vers nous. La discussion avec mon copain, qui avait fini de récupérer de son manque de sommeil, commence en anglais, et après quelques phrases je les interromps en leur disant d’arrêter de parler l’anglais et qu’il ferait mieux de parler français pour mieux ce comprendre. C’est très marrant de rencontrer des Français et de croire que l’on est obligatoirement anglophone, le réflexe est de se parler en anglais, mais un français qui parle l’anglais est très typique et reconnaissable dans sa prononciation. Nous avons passés la soirée ensemble, originaire de Corse il nous racontais son tour du monde, amoureux de la nature il nous décrivait les paysages qu’il a vue, ces bons moments en Amérique du sud, et un peut ces déboires. Nous tardions, comme tout bon Français, à table, nous avons oubliés que nous étions dans un petit village et que tout le monde ferme de bonne heure, y compris les restos.

Normalement le soir on danse sur la place et en repartant à l’hôtel, ont voie les gens du village jouer avec de gros dés de 40cm de côtés comme au casino, avec de l’argent bien entendu. Nous passons une nuit dans un calme de campagne aux sont des grillons, des cris des oiseaux de nuit, des chats qui miaule et qui finissent par se battent et des moustiques qui avionnent. Le lendemain, levée au petit jour, surprise, au village ça tarde à ce lever, je connais les chinois beaucoup plus matinaux, mais a quoi bon ce lever de bonne heure quand le premier car de touriste ne vient que vers 8h30. En tout cas bien agréable, fraîcheur des lieux et peut de bruits, les restaus pour les petits déjeunées ne débordent pas dans les ruelles et les échoppes s’ouvrent doucement. Vers l’entrée du village, dans la matinée à 9H30 et dans l’après midi à 15h, et pendant 20mn, sur une place de représentation en pleine air aménagé et ombragé, un défilé de mode de jeunes filles et de jeunes gens habillés de costumes traditionnels, vous présentent les différents costumes des ethnies et de quelques traditions, cela fait vraiment défilé, mais c’est beau. Pour clore le spectacle on met à contribution quelques jeunes hommes venus en touriste, pour un jeu traditionnel de tire à la corde contre les filles, attention, on n’y est pas gagnant.

Voilà, ballade dans une des vallée, chemin aménagé mais reste sauvage, et on attend le dernier car du soir pour repartir sur Jishou et attendre notre train. Notre billet pour Xiangfan annonce le train pour 3h15 du matin, on finira par embarquer à 4h30 du matin, dur dur.

J’espère que cette petite excursion vous a plu, on ne peu pas mettre toutes les photos, mais une reste insolite, elle a été prise sur les bords de la rive à Fenhuang, pas besoin de traduction.

 

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10 octobre 2009 6 10 /10 /octobre /2009 10:48

La veille, dans Feng huang, la ballade fut pleine de découvertes, de contrastes, de tranquillité entrecoupée de bruit et de beauté des lieux et décourageante par ces aménagements. Quand au collègue cela ce résume à : dormir dans la journée et Internet toute la nuit.

De bonne heure, 8h30 nous partons pour un village Miao, un petit bus affrété pour ces sites nous y amène. Pendant les 40mn de trajet deux jeunes filles en tenu Miao pour la veste et pantalon gin pour le bas nous font l’animation pendant le trajet. Chanson traditionnelle et histoire sortant d’un haut parleur au son plutôt agressif. L’arrêt ce fait derrière un barrage aménager pour une retenu d’eau. Pas d’autre possibilité que de continuer en bateau. Nous embarquons pour un petit quart d’heure de traverser plutôt agréable et frais. Ne demandez pas les gilets de sauvetages, y en a pas, et quand on sait qu’un chinois sur dix (plus ou moins) ne sais pas nager… mais c’est qu’un lac aux eaux clames et claires. Arrivé au pied d’une petite colline, le village, 5Om plus haut se fait par des escaliers. Nous y voilà, nous sommes le premier groupe arrivé. Un ruban  avec un gros nœud, trois jeunes filles et un jeune homme nous barre la porte d’accès aménagé pour le village, chanson bien appris dans le mini bus, coupelle d’alcool (mitjio) pour nous souhaiter la bienvenue. Nous entrons, une petite place aménager avec auvent ombragé et quatre marchandent de souvenir s’installent. Et l’ont attend, d’ailleurs on vas attendre beaucoup dans la journée, ont attend d’autres bateaux, d’autres groupes, faut faire place pleine, non, heureusement cela ce limite a trois groupes, cela se limite à une cinquantaine de personnes. Puis vers 10h30 ont bougent, direction la montagne a travers les bambous, chaleur étouffante, petit arrêt a une source, dégustation d’eau fraîche, non pas pour moi merci, et encore quelques pas pour arriver devant l’entrée d’une grottes, on est trempés de sueur, interdit d’entrée le temps de se sécher, température extérieur 35°, température intérieur 18°, et on attends, les groupes se reforment, le passent temps pour les chinois c’est la cigarette et ils ont toujours a causer, je remarque que pour le collègue fatigué de sa nuit devant Internet, c’est pareil: cigarette, mais ça fait la gueule ??? Après une demie heure, le bruit d’un groupe électrogène qui sert à éclairer la grotte, fait lever les chinois et la petite guide nous invite à rentrée dans la grotte. Au début un tunnel creusé, ou il faut baisser la tête,  nous même à un gouffre, l’éclairage de rubans tubes de couleurs me fait plutôt penser à l’accès d’un  manège d’horreur de foire. Après quelques escaliers glissants et passages ou si l’on regarde ou l’on marche ont se cogne la tête sur les quelques stalactites, nous ressortons frigorifiés, c’est vrai que j’en ai vues des grottes, pas terrible celle-ci, même plutôt pauvre. Une passerelle suspendue en guise de pont pour passer au dessus d’une gorge et nous rejoignons le village par le haut. Une vieille dame tisse des ceintures de tissus aux couleurs de l’ethnie, et plus loin on nous invite à rentrée dans une maison, rien d’exceptionnel, l’architecture ressemble intérieur ressemble a ce que j’ai déjà vue lors de mes autres expéditions dans les fermes isolées des campagnes chinoise, pas de plafond, vue sur les tuiles, quelque bois ou bambous entrecroiser de multiples choses suspendus, la cuisine au feu de bois avec deux grand work, une petite séparation pour la chambre, et terre battu au sol . Il est quand même 13h le repas est annoncé dans une maison à la pièce unique en face de la petite place. Rien non plus d’extraordinaire, pas de plats spécifiques traditionnel, mais bien préparé et bon, et comme tous les repas chinois cela ce passe en deux temps trois mouvement, en 30 mn tout est finit. Repos sous la tonnelle aménagé et ombragé et pour certain la sieste. Puis on voie un peut plus de jeunes filles en tenue traditionnelles, le tambour est amené, quelques chant traditionnelles, ont fait chanter aussi les touristes chinois, petit concours en faisant habiller trois jeunes hommes en costume traditionnelles dont un des costume est en taille XXXL pour faire rire les gens, et pour finir danse au travers des paires de bambous qui sont claqués sur des traverses, puis frappés entre eux en se fermant en rythmes, attention a ne pas laisser les chevilles entre deux bambous. Il est 16H la visite est terminé, retour au bateau, puis au car et rentrée sur la ville. Je peut dire que j’était un peut dessus, beaucoup d’attente, si l’on voie dix personnes de ce village c’est parce que ils sont là pour faire l’animation ou pour préparer à manger, le village ressemble plus a un village reconstituer après avoir été abandonné est que l’on demande à des jeunes filles d’en faire l’animation pour occuper les touristes.
la photo qui suis et pour vous montrer une maman et sont bébé, les ethnies ne sont pas régis sous les loies du control des naissances, la maman a 18ans. 

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 14:15

Nous montons dans le car, deux Françaises attendent pour une place, n’ayant pas réservés elles se retrouvent sur des petits fauteuils pliants au milieu de l’allée. Ont fait connaissance, on parlent, on échangent un peu les places. Lorsque l’ont arrivent a Fenghuang vers 13h30, on descend sur un parking en dehors de la ville, rien nous indiques ou aller et comment y aller. C’est le principal défaut de la chine touristique, comme tout est prévu pour les groupes organisés, ceux qui voyages autrement, et surtout les étrangers, démerdez vous. Et si vous demandez un renseignement, quand vous êtes compris, soit on vous dirige mal, soit vous êtes sur de vous faire arnaquer.

Comme nous voyons tous les chinois se diriger sur un car de ville qui attend un peut plus loin, nous faisons la même chose, le mouvement de masse est parfois porteur de bonne chance. Nous arrivons après quelques minutes dans la ville touristique, on traverse un pont et presque tout le monde y descend. A peine descendu, un peut agressé par des vendeurs et des rabatteurs : « bigwan, bigwan » (hôtel), non, les filles ont faim et le collègue encore pire. Après un repas nouille, c’est le plus facile et le plus économique en chine, recherche de chambres, visite, ouai, pas mal pour le prix. Les filles préfèrent voire plus loin, je crois qu’ils préfèrent plus rester entre eux deux. Le collègue s’installe sur le lit de la chambre et envisage une sieste, je m’y installe aussi, mais l’envies de découvrir me raccourci la sieste et je part seul dans le village. Pleins de petites rues comme je les aimes, je m’y perd un peut, je regarde les maisons et battisses de bois que cachent les étalages d’une fourmilière de magasins et de marchands ambulants, pas un mètre carré de libre, je visite les intérieurs plus par curiosité de regarder les maisons que de ce qu’ils vendent, quoi que quelques magasins de peintures sur tissus traditionnelles me fond toujours craquer. Faire gaffe ou l’on marche, les rues sont paver de leurs dalles anciennes et ne sont pas très d’aplomb ou déformées par le temps. Des pousses pousses passent dans les rues étroites et les étalages débordent. Des cafés restaus s’alignent sur les premiers étages des maisons coller aux berges, avec vue sur la rivière, ou des petites barques à rame fond l’enchantements des touristes pour une ballade au fil de l’eau. Y a de quoi voire sur moins d’un kilomètre de berge. Vers la fin de l’après midi, sur une berge qui fait plus office de place, des jeunes gens et surtout les jeunes filles venus en touristes s’habillent de costumes traditionnels, ou de l’armée populaire ou de l’armée des anciens empereurs, ou d’autres,  pas toujours de bon goût,  et surtout, ne pas oublier la photo…Deux passerelles étroites en pierre fond office de pont piéton, le  croisement si fait avec préhension et avec attention à ne pas pousser celui qu’on croise dans l’eau. Le soir les illuminations des maisons de bois sur les berges et par le reflet de l’eau donne un coté un peut feu d’artifice.

Dans la soirée je rentre à l’hôtel, le patron me propose des billets pour aller voire un village Miao, je rejoint le collègue, j’en discute, on pensent y aller. Mais pour ce qui est de la soirée, il veut faire un tour dans un « wanba » (café Internet), je vais avec lui, j’ai besoin d’acheter une recharge pour mon téléphone et je vais y voire mes emails. Pour cela nous sortons des remparts de la vieille ville, lui il veux y passer la soirée à discuter avec sa copine par Webcam, moi une fois regardé les nouvelles, je dégage, parce que ces lieux ne son pas régi sous une loi d’endroit non fumeur. Après avoir grignoté en achetant sur les restaus de rue (chao kao dienne) je retourne dans les rues de la vieille ville et sur les berges.

Je flâne, je regarde, j’écoute la musique des restaus. qui ce transforment en dancing au fur et à mesure que la soirée avance.

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21 septembre 2009 1 21 /09 /septembre /2009 08:03

 

Le lendemain grâce un échange de billets effectué, de dernière minute en revenant des gorges de Mufu la veille, nous prenons le bus pour Zhangjiajié, nous croyons prendre un bus grand confort vue l'heure que l’on ma indiqué pour l’arrivé, mais à notre surprise c’est dans un mini bus que nous montons. A penne sorti de la ville on reste bloqué dans un accident, et en chine quand il t a un accident on ne bouge pas les véhicules tant que la police elle-même ne vienne constaté et délibérer qui a tort ou pas.

Après quelques longues minutes des voies se font entendre dans le bus pour que le chauffeur prenne la décision de prendre un autre chemin. Un petit détour et nous voilà reparti. Nous pensions dormir ou somnoler, impossible notre chauffeur qui mâchouiller de la chique de tabac jouait les conducteurs de rallye dans les virages, ne ralentissant pas et se penchait sur sont siège pour contré l’inertie, par contre nous devions  nous accrocher ou l’ont pouvait pour évité sois, d’écraser son voisin, ou de glisser du siège. Et puis cela valait le coup de ne pas dormir, des paysages fantastiques, du village pittoresques.
Midi, nous arrivons dans une ville, nous pensions que nous allons nous arrêter pour manger, en plus on entend des plaisanteries sur notre compte de la part du chauffeur et de quelque chinois et pour finir une chinoise nous demande en anglais  si nous désirons manger, la réponse me mon collègue et qu’il a faim, mais nous sortons de la ville et nous continuons notre route. L’incompréhension reste entre nous deux, pourquoi nous demander alors que nous continuons notre route,  le copain n’est pas très contant, mais pour le rassurer je lui dit que peut être il a son petit endroit ou il a l’habitude de s’arrêter et en accord avec les patrons pour recevoir sa commission sur les repas que les gens prennent.  Vers 13h en pleine montagne, nous nous arrêtons,  un restau. de bord de route, petite rivière, pleine forêt, calme et air frais. Le coup de fil était passé à l’avance et les plats étaient déjà prêts, mais quand je les ai vue arrivé, les plats regorgeaient de piments, impossible de manger pour moi, pour le collègue la faim a été plus forte que les piments.
Je restais dehors comme trois autres personnes ne désirant pas manger, pour eux,  plus par économie d’argent que par refus des plats proposés. En attendant, un paysan vient avec un sac, le gérant de l’établissement regarde dedans et en sort un serpent qui le tien quand même avec méfiance en lui serrant la mâchoire,  je sais qu’il vas être vendu pour la cuisine, je lui demande de me le prêter un instant, lui expliquant qu’il ne devait pas avoir peur, il me le donna,  le serpent faisait plus d’un mette, il s’enroula autour de mon bras et je rentre dans le restau  avec pour le montrer à mon collègue, tous furent un peu effrayés et surpris, puis je le rendis avec regret au gérant qui le pesa et donna de l’argent au paysan. Le chauffeur klaxonnait pour les retardataires car il y a encore de la route à faire.

16h30 arrivé à la gare des trains de Zhangjajié. On est Samedi. La première des choses trouver la banque de chine et un hôtel, ce qui fut simple pour la banque, le car n°6 nous amène en 5mn, pur l’hôtel aussi , juste a côté, hôtel chinois, dans son aménagement, 70 yuans la chambre. Pour l’eau chaude il y a un chauffe-eau à gaz dans le couloir pour chacun, ouvrir le gaz de la bouteille qui se trouve en dessous de chaque chauffe eau et le tour et joué, pour la clim il faut payer un supplément de 20 yuans. On ce renseigne pour aller à la montagne, on nous dit de prendre le téléphérique qui est juste à 100m de la gare, il nous mène jusque dans la montagne, et combien le billet ? 285 yuans, Oups! Pour le collègue ce n’est pas question, et comment on fait pour aller au village au pied de la montagne ?
Le petit bus, le lendemain on prend le bus navette, arrivé dans un petit village au nom de Tianzishan nous sommes un peut assaillis par des chinois qui veulent nous mener en motos dans les entrées des sites, ne sachant pas ou aller on achète une carte du site et nous regardons, on ne sais pas ou aller, on demande, mais c’est dans une discorde complète de réponses pour nous montons derrière leur motos et nous arnaquer sur le prix de la course. Nous décidons de prendre un taxi pour aller sur une porte que j’ai fini par comprendre où nous devions aller. Ce ne fut pas très loin, quelques minutes, malheureusement, comme dans tous les sites, une porte, un guichet, le prix : 70 yuans pour aller dans cette endroit de la montagne, il est 11h, rentré visité à cette heure ci ? Voire des rochets, l’aménagement ressemble comme aux autres parc, et la chaleur et accablante, c’est trop tard, nous décidons de revenir à l’hôtel. Après le repas je ne sais si c’est la chaleur ou les voyages, la sieste est bienvenue.
Dans la fin de l’aprèm, visite de la ville, nous avions vue, par le car, une église catholique, nous allons la voire, c’est quand même surprenant et normal puisque l’église catholique a voulu christianiser dans un idéal dune foix aveugle dans certains pays. En ville tous ce ressemble aux autres villes moderne et construite dans un modèle bien réglé. Nous avons rien à faire à rester dans cet endroit, nous cherchons la gare routière et nous prenons le billet pour Déhang. Demain départ 9h30, ça vas pour le collègue, y aura pas à ce lever trop tôt.
Un peut déçus d’être venu dans un endroit pour ne pas visiter, mais vue le prix et comme je connais comment les aménagements de ces sites comme ils sont fait, cela plait à certain mais j’aime quand cela reste un peut sauvage. Le lendemain nous rencontrons deux françaises à l’embarquement au car, par la suite ils nous ont racontés leur promenade dans les montagnes, vue ce qu’il ont dit : c’était donc la veille, c’était un dimanche, la foule des chinois de sorties, on a bien fait de faire la sieste à la place, vous imaginé mal ? Venez, vous comprendrez que si vous y cherchez le calme et la tranquillité cela y ressemble plus à une fête foraine.

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11 septembre 2009 5 11 /09 /septembre /2009 09:45

Suite à cette revue de presse notre voyage était dans ce lieu en premier :

Revue de presse du mercredi 19 mars 2008 journal de l’ambassade de France à Wuhan
Le canyon de Mufu va ouvrir ses portes au public

Le canyon de Mufu, découvert par une expédition sino-française en 2004, va ouvrir ses portes aux touristes le 28 avril prochain. Ce canyon, situé à 30 km de la ville d’Enshi (Sud-ouest du Hubei), est long de 108 km et sa profondeur est d’environ 2 300 mètres, superficie supérieure au grand canyon aux Etats-Unis. M. YAN Mei, représentant de l’Assemblée populaire de la province du Hubei, a déclaré que le paysage de ce canyon était magnifique et qu’il devrait permettre d’attirer un grand nombre de touristes dans la province.

Chunjian jin bao, mercredi 19 mars 2008.

Et après quelques jours à Wuhan, nous partons pour Henshi. Pas de gare de train à Henshi, donc on prend le bus couchettes, on regarde la carte, on pense que l'autoroute vas jusqu'à Henshi, donc cela devrait aller vite. Départ 18h30, un peut crever des festivités et de la chaleur de l'été à Wuhan, on s’endors vite, puis vers 21h la faim nous réveille, pas d’arrêt prévu pour mangé, c'était pas indiqué, fallait demander avant d'embarquer,, heureusement quelques petits gâteaux sec et une banane nous calle un peut, nous sommes sur l’autoroute, rien a voire dehors, il fait nuit, le car fil, nous nous rendormons. Vers11h30, le ralentissement est l’arrêt du car nous réveille, payage d'autoroute, et sorti, puis on prend la route normal, on monte un col, puis de l’autre côté, je me cogne la tête sur la vitre du car, le car se balance da&ns tous les sens, nous roulons au pas, des travaux sur la route, et cela pendant 6h, la route défoncé, des passage étroits, des tas de gravas, des routes a moitié ouverte pour mettre des tuyaux de gros diamètres. 6 heures de voyages dans un rodéo infernal pour le chauffeur entre les travaux et les autres véhicules et camions que nous croisons en face comme pour nous dans nos couchettes. A 5h30 du matin nous reprenons un bout d’autoroute pour en sortir vers 7heure, 7h30 Henshi et la gare routière, nous descendons, pas de chinois à nous agresser pour prendre taxi, hôtel, etc. vite un petit déjeuner, c’est toujours facile, les « gargotes » sont toujours tous regroupés autour des sortis de gares. Retour dans la gare routière pour demander des renseignements sur notre future destination et pour aller à la gorge, pas évidant de ce faire comprendre et pas évidant de les comprendre, il parlent le chinois local, qui est plutôt des langages ethniques. Après une bonne demi heures de recherches à qui voudrait bien nous renseigner, on nous explique que les petits bus pour les gorges de Mufu ne sont pas loin, 100 m sur la gauche en sortant de la gare routière, ouf ! On y arrive, apparemment ils n’ont pas l’habitudes de voire beaucoup d’étrangers. Ont montent dans le petit bus et nous voilà partis, il 9heure.On monte un col, arrêt pour faire le plein d’eau pour le refroidissement du car, et on redescend de l’autre versant,  Houa ! Après une demi heures des paysages vertigineux, des vallées profondes, des falaises abruptes. On arrive il est 11h30. Ont vois que le site viens de s’ouvrir au touristes, juste un grand bâtiment tout neuf pour servir de billetterie, on fait toujours un peut dans la démesure pour les sites touristiques, et une hôtel restau sur le côté qui a première vue est plutôt une grande maison neuve de chinois. Mon copain préfère réserver une chambre de suite pour être rassuré, pas trop le choix, enfin on a le choix des chambres mais c’est plutôt l’intérieur qui reste très sparciate, pas de ménage, le pavé sale marqué par des pas de boues de terre, la salle bain aussi pire. On y mange avant de faire la montagne, repas varié, 5plats, légumes est viandes servies sans commander, 25 yuans par personne avec une bière par personne, pas mal. 13h on prend le bus prévus pour l’accès à la montagne, 10mn de grimpette et on arrive à un parking. Le village de la minorité des Tujias se trouvent derrière la montagne à pied, comme nous ne s’avons combien de temps il nous pour y allé et comme on nous a indiqué qu’il faut 4h pour faire le parcourt dans la montagne, ont décide de faire la montagne. Dès l’entrée la découpe des roches est surprenante, plus loin on s’aperçois que des ouvriers s’affaire a retirer la terre entre ces rochers pour en découvrir les méandres créer par le temps. Puis une brèche dans la falaise, un escalier de quelques mètres nous fait descendre  au travers de cette faille pour arriver au bord de la falaise de l’autre côté. Une passerelle construite avec les techniques des habitants de la région et faite avec les matériaux d’aujourd’hui « béton) nous mènent à parcourir sur le milieu de la falaise sur plus 1km. La vue sur le paysage de la vallée, de haut et de très loin et impressionnant, vertige assuré. Le chemin continue, découvrant ces aspects étranges. 16h30 nous avons fait le tour, en fait  nous arrivons au point de départ des bus pour y monté, le mini bus qui nous avez amené le matin arrivent en même temps que nous sur le terre plein de l’accueil, le chauffeur nous demande si on reste, on se regarde et on décide vue l’heure de retournée à Henshi pour le soir, ont retourne vite à la chambre, comme on avait pas encore payé la chambre on donne 5yuans de dédommagement pour avoir réservé la chambre, on profite du lavabo pour ce rafraîchir et on prend le mini car de retour. 19h arrivé à Henshi, la première des choses est d’échanger nos billets de réservations pour le bus de Zhangjiajié que nous avions prix le matin même pour le surlendemain, pour que nous puissions  partir le lendemain. Chose faite, fallait trouver un hôtel, sur le coté droite de la gare routière j’en repère un, une petite discussions sur le prix et nous avons la chambre pour 80yuans avec Internet gratuit. Fatigué de la nuit précédente du voyage dans ce bus couchette et de la marche dans la montagne, nous faisons pas long feu à trainer dehors, surtout que demain on repart. Bonne nuit…

comme j'ai aimé cet endroit, bonus pour vous: photos suplémentères, 

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31 août 2009 1 31 /08 /août /2009 09:20

J’ai profité d’une dizaine de jours pour voyager, je voulais voire quelques ethnies qui je savais ce trouvaient dans le sud du Hubei qui et la province ou j’habite. Cette province abrite les ethnies Miao, Tujia et Bai a ma connaissance.

Alors, avec un autre Français, Axel, qui fait son apprentissage de wushu ici à Wudang, nous sommes partis pour Wuhan. Première destination, l’ambassade de France, pour quelques papiers administratif, j’en profite pour les remerciés de leurs gentillesses et de leurs sympathies. (Photos ambassade)

Mon ami de route avait une envie folle de manger une pizza, direction la rue Française construite de toute pièce pour attiré les chinois le week end, en mal de voyage. Situé à Hankuo au bord du lac Sanjiaohe (taper sur google map : golden hardor wuhan) arrivée pas un chat, français de surcroît, c’est normal au mois d’Août il fait très chaud à Wuhan et beaucoup de wuhannais partent en vacances ou ne sortent pas dans les heures les plus chaudes. Une rue de deux cents mètres, de tout ce qui a de plus simple, une boulangerie une pizzeria et un bateau de la marine ancienne à voile (« djiade » copie) encrée dans le faut port du lac, au bout une piscine ouverte qu’en fin d’aprèm et des villas pour la bourgeoisie chinoise (peut son occupées). Nous avons manger une pizza, bu un verre de vin : du côte du Rhône, et une glace, visité la boulangerie.

retour dans les « soutes » de Wuhan, le grand bazar, rue hanzeng, l’une des plus ancienne artères du vieux Hankou, c’était il y a 500 ans le poumon économique de la ville, aujourd’hui cette zone de plus de 2 hectare s’est transformée en un gigantesque marché de biens de consommation de qualité courante, vêtements bijoux et objets de pacotilles,  quartier d’affaires ou tout se vend en gros dans des magasins immenses ou de petites échoppes débordantes,  ou toutes les copies de grandes marques sont reproduites dans un dédale de ruelles à si perdre.( Photos du bazar)

La journée se termine, nous rentrons à l’hôtel et nous retrouvons d’autres étudiants de la même académie de wushu d’Axel, ils sont aussi ici pour quelques jours de repos avant le grand rush de 5ans de formation à Wudang. La soirée s’annonce par un repas japonais, déco, saveur et qualité iréprochable ,  La soirée se continue en boite de nuit, dans une rue près d’un des canaux du grand fleuve  s’alignent les night clubs et karaokés, le défilé de belles voitures, BMW, AUDI, PORCHE ..., et de la nouvelle génération des jeunes wuhannais et wuhannaises habillées à la mode et  très sexies, contrastent avec les villes comme Shiyan et de surcrois les campagnes. l’intérieur de ce night club est surprenant par la déco, on ce croirais dans un lieu mystique gothique, lustres ancien géant, mur et plafond en  faut bois et vitro au images évangéliques a peine éclairé en guise de fausses fenêtres intercalés d’écrans de télé aux images psycadélic ou sexie. Pas de piste de danse, pleins de petites tablées ou loges ou l’on boit vodka et autres alcools et ou l’on danse simplement en se levant sur place devant ces amis. Dans la soirée des chanteuses et chanteurs, je dirais des charmeurs, font leur chaud pour entraîner les clients dans l’euphorie de la danse et de la musique. La "drague" et l’alcool coule à flot, je vous rassure,  je voyage avec un chapelé tibétain, ce qui me permet de dévier en remerciant bien gentiment toute demande de ces demoiselles ou d’invitation a l’alcool offert par des chinois  contants de faire connaissance avec des étrangers. J’écoute la musique, je prends le rythme de temps en temps au son de celle ci en me contortionnant légèrement sur mon siège, je regarde avec compréhension et questionnement de cette nouvelle jeunesse qui passe ces nuits d'ivresses et je me saoule de cette ambiance.

Dernier jour a wuhan, nous visitons la tour de la grue,

De là une vue sur la ville de Hankou* et du fleuve le yangtsé, (* la ville de Wuhan et divisé par le fleuve au nord la ville de Hankou et Hanyang, au sud Wuchang ) .

Et visite au temple boudhiste, très interressant par ces plus de 200 statues représentant ces disciple dans toute sortes de postures comiques,  presque grandeur nature .

suite du voyage dans quelques jours...

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