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PrÉSentation

  • : Vivre en Chine, mes Voyages, vie de tous les jours, mes amours, mes coups de coeur, ma vie après mon accident...
  • : Le plus belle amour que l'on puisse donner à l'autre c'est de le laisser libre. Celui qui reste, demeure dans sa prison. Loin de ma famille de France, au milieu de la Chine, j'attend celle que j'aime. Amour impossible puisque sa famille la remarié de force avec un autre chinois.
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Texte libre

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10 août 2007 5 10 /08 /août /2007 03:47

Cet été, le Hubei a connu les inondations les plus graves depuis 1998. Elles ont fait 79 morts, 21 disparus et près de 15 millions de sinistrés. Les dégâts matériels ont dépassé les 5 milliards RMB.

 Quotidien métropolitain du  Hubei,  10 août 2007

Le dauphin blanc du Yangtzé se serait éteint

 Pendant six semaines, des experts ont écumé les eaux du Yangtzé, sans rencontrer un seul "baiji", le dauphin blanc de rivière. En 1997, seulement 13 de ces mammifères avaient été recensés. Selon M. WANG Ding, de l'Académie des sciences chinoises, l’espèce s’est probablement éteinte tandis que pour The Independent, ''une partie de l'âme chinoise s'en est allée". Le dauphin blanc, surnommé ‘’la divinité du Yangtzé" habitait ces eaux depuis 20 millions d'années. Victime d'une pollution dévastatrice, de la pêche illégale et du trafic fluvial, le baiji, en s’éteignant, est la première espèce de cétacé à subir les conséquences de l'industrialisation.

 Le Monde en ligne / AFP, 8 août 2007

Je suis les actualités mondiales :

c'est dramatique ce qui ce passe en europe, c'est ce que raportent nos journalistes:  La suisse vas subir des innondations??? tendis qu'au Bengladesh il pluviote, comme dans les iles Philipinne, comme en Chine. Sans parler des exces de chaleur dans d'autre pays.

sans autre commentaires....

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11 juin 2007 1 11 /06 /juin /2007 05:36

     Lors d'un week end de stage de formation des enseignants en Qi Gong, nous devions approfondir l'exercice de notion de "wuji". Il était mener par une main de Maître par Oscar.

     Ce n'étais pas pour moi la première fois que je faisais stage avec Oscar. D'origine Mexicaine, médecin , ayant appris l'acuponcture en chine, il put, dans des années ou le régime communiste de chine censurait fortement beaucoup de choses, trouver est travailler avec des vraies Maitres en Qi gong.

    Il se mis à parler de son dernier voyage dans les contrefort de l' himalaya sur le territoire chinois, à la recherche des vieilles méthodes médicales, d'accupontures et des plantes médicinales, à la rencontre et la vie avec les médecins traditionnel et à demis chamane. Et c'est dans un temple ou il faisait séjour qu'il compris qu'un evenement allait ce passer. Les mots séchangeaient à voie basse, et il ne comprenait qu'a mis mots. Un matin avant l'aube un petit groupe de moines partis, il s'empressa de les suivrent s'en en demander la raison ni si il pouvait aller avec eux. Il voyagea plusieurs jours, s'arrêtant dans d'autres monastères pour dormir, D'autre moines de chaques monastères partaient avec eux, il essayait de demander qu'elle en était la raison, mais les réponses étaient détourné et pourtant personne ne lui disait de partir et de ne pas les suivres, alors curieux et avide il continua de suivre le petit groupe de moines qui grossissait de temple en temple.

    Ils s'enfonçaient dans le territoire, l'accès des petits villages et aux temples ne ce faisaient que par des petits chemins, isoler de tout. Puis il arriva dans une soirée dans un village ou des lampes à huile et des lampions illuminais le village et plus particulièrement une vieille maison qui servait de lieu de culte. il y rentra, au fond de la première pièce, assis en tailleur, un Rimpocher était assis et bénissait les nouveaux arrivants, La venue d'Oscar dans ces lieux n'était pas dénué de curiosité, cependant le Rimpocher lui entama la conversation en parlant un anglais très achuré et peut compréhensible, Oscar lui répondit en tibétain et en chinois, ce qui fut plus pratique par la suite pour continuer la conversation. C'est alors que le mot d'immortel lui fut dit, qu'il allait voire un immortel vivre. Ayant réussi à communiquer par l'Esprit à plusieurs moines dans différents endroits et par recoupement de ces paroles dictée par l'Esprit , ils en ont concluent et analisèrent qu'il doit refaire séjour dans ces quelques jours prochains.

    Le lendemain, réveil avant le jour prière, et, dans la journée prières et danses tibetainne, avec des personnages aux masques de démons et de divinités, dans la ruelle devant la maison. Puis dans la soirée, la nuit tombé, tous le village et des gens des alentours c'étaient rassemblés devant la maison. Plus la nuit s'avançait, puis les prières se faisaient entendre en une seul voie. On invita Oscar à rentré, le Lama Rimpotcher sorti d'une autre pièce, vit Oscar et l'invita à rentrer dans la pièce d'où il sorti. Dans le fond de la pièce un genre de grand placard lit, ou les portes étaient grandes ouvertes. Des tentures pendaient de tous sens et les enscens qui fumaient ne pouvaient cacher l'odeur de vieux tissus. Le Lama ouvrit plusieurs rido de voile qui servait de moustiquaire. Dans le fond, caler de cousin , il souleva un dernier voile pour découvrir une momie assise en position lotus. Sur le coup Oscar considérait que cette momie sécher était vénérer et qu'une fois de temps en temps il était permis de le voire. Le Lama dit que, qu'il pouvait constater que cette momie était un être immortel et qu'il n'était pas mort, simplement sans vie, que cette nuit il reviendrait à la vie nous dirent et donner des directives sur notre vie et notre devoir à accomplir sur terre pour l'avenir. Le Lama remis un voile sur l'immortel et invita oscar à s'assoir avec les moines et dignitaires présents dans la pièce. Au pied du lit un moine responsable de l'immortel, marmonnait des prières. Puis après un moment il se tue, Ocar cru qu'il dormait mais en le regardant bien, il tenait dans ces mains des cloches tibétaitainnes, et les personnes présentent, attendaient que le moine les entrechocs, un long silence se faisait entendre, et les regards restaient fixés. Puis de légers tintillements se fit entendre, le moine les faisaient sonner. Puis quelques murmures de moines:"il revient".c'est alors que Oscar vie le voile bouger, dessous, la momie bougeait légèrement, il voyait le corps se gonfler et se redresser, on pouvait pensait qu'il reprenait forme de vie. Certain moine ce levèrent, apportèrent de l'eau et des fruits en offrande, enlevèrent le voile mais tirèrent un rido de voile en amont. On ne voyait pas distinctement ce qu'il ce passait, les moines ce mettaient plus ou moins devant l'immortel pour le servir et le rido de voile cachait un peu la vue. Puis ils se retirèrent. Après une prière et un silence, on entendit une voie incompréhensible qui venait de vers l'immortel, quelque moines s'empressait d'écrire en sanscrit. Puis de nouveaux un silence, une prière et le moine responsable des lieux passa derrière le rido, mis le voile sur l'immortel, ils se parlèrent doucement entre eux, tira plusieurs rido et ferma les portes de ce lit placard. Un moine invita Oscar à sortir de la pièce pour s'assoir dans l'autre pièces, des prières et des discutions sur les écrits des moines, dicté par l'immortel, faisait jeux de questions à réponses et acte de scénario et d'enjeu.

    Oscar continua à raconter que pendant l'invasion du tibet, beaucoup d'immortel ce trouvaient dans les temples, et que les Chinois brulaient les temples et brulaient les momies croyant qu'ils venéraient des morts momifiés, ne sachant pas que c'étaient des immortels. Voyant ce massacre, certain moines ont eu la bonne idée de les cacher dans des maisons de gens ordinnaires pour les sauver de leur mort. Il eut l'explication par le Lama Rimpotcher que les immortels sont des être vivants, avant leur ascension, ils ont atteint un tel degré de travail sur leur corps et leur esprit, qu'ils savent sans séparer , juste, pour qu'il se soit pas mort. Ils s'en détachent et quittent cette terre, et, leur esprit revient dans leur corps quand ils le désirent. c'est ainsi que les immortel vivent.

     Oscar c'est nous faire revivre ces expériences, ces rescentis, ces voyages, ces aventures, à travers ces paroles, comme, je pense, à chacun de nous qui vie ce genre d'expérience. Ce petit récit a été écrit par ce qu'il est le souvenir de la première soirée de ce stage, et il fait parti de plusieurs expérience que j'ai vécus lors de ce week end. Vous en aurait la suite bientôt. Promis... mais au cas ou vous ne sauriez pas, en chine le temps ne compte pas, il faut prendre patiente.

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12 avril 2007 4 12 /04 /avril /2007 08:57

Nous avons vécu le mois dernier presque tous le temps ensemble.

Elle se retrouve avec un problème gynécologique du à ces relations peut affectives avec son mari, comme elle est très fatiguer, je préparais les repas pour le midi et le soir, pour son fils et la grand mère en profitait aussi. Pour un chinois un repas pris à la maison tourne entre deux yuans (20centimes d'Euro) par repas, mois mes repas tournais entre 20 et 30 yuans, c'est pour vous dire qu'il y avait de quoi manger, avec de la viande , du poisson et plusieurs plats de légumes à tous les repas.

Puis le soir elle me donnait le bébé. Il dormait dans ma chambre avec moi, on prenais la douche ensemble, chose que le bébé découvrait. J'ai acheter une couette pour bébé (je crois que ça un nom ), pour qu'il puisse dormir sans ces habits de la journée et dans une chambre chauffé, parce que chez eux par écomie d'argent on ne chauffe pas. Puis quand la grand mère rentrait chez elle , et que le fils dormait, elle venait dormir avec moi.

Anecdote: un soir je lui est dit que si elle venait dormir avec moi, qu'elle pense à prendre une douche est de changer ces sous vêtements. En chine quand il fait froid, ils mettent des sous vêtements est caleçons, le premier sous vêtement, il le garde nuit est jour, le même pendant un long et certain temps, et par dessus d'autres sous vêtement plus épais sont enfiler. Et la douche; comme bien souvent c'est du chauffage solaire, il faut qu'il face beau pour avoir de l'eau chaude, moi je me démerde avec la bouilloire d'eau chaude quand il ni a pas d'eau chaude à la douche. Quand le bébé réclamait le biberon la nuit, je le préparais et elle partait dormir avec son fils chez elle. Ce fut des nuits très hachurés.

Elle a téléphoné à son mari pour qu'il ne rentre plus pendant les week end, mais par précaution elle ne voulait pas dormir avec moi pendant les week end. Puis un lundi, dans la nuit, alors qu'elle allait rejoindre sont fils, elle me dit: qu'elle ne dormira plus avec moi tant que je n'irais pas voire sa soeur a Shangaï. Qu'elle lui a téléphoné, elle a parlé de moi, alors sa soeur veut qu'on face connaissance et que si on s'accorde, elle veut bien vivre moi. Elle me dit tu comprends , on vie presque ensemble et tu ne pense plus à te marié avec une autre fille, et plus je deviendrais vieux, et plus ce sera dificil pour moi de me marier avec une autre fille.

Le lendemain ce fut la grande discutions, elle discuta longuement sur sa famille et de sa soeur. En fait se n'est pas sa soeur, ces parents vivaient dans la campagne à la montagne dans un endroit ou j'ai été il y a deux ans de cela, c'est un endroit ou les gens sont plutot pauvre et vive en antarci, et ont donner leur filles à une famille qui était plus riche habitant en ville, elle a été élevé par des parents adoptifs à Wuhan. ( vous aller comprendre par la suite de ce qu'elle à vécu comment elle le reporte maintenant)

Pendant la semaine elle se plaignait que son mari ne téléphonait même pas pour prendre des nouvelles de son fils et qu'elle pensait qu'il allait revenir ce week end, alors j'ai décidé de rendre visite à sa soeur. J'ai pensé qu'une semaine ce serait bien pour faire connaissance.

Le vendredi je pars pour Shangaï, Le guicher de la gare de Wudang ne peut me délivrer de billet, je monte dans le train sans billet, ce qui peut se résulter à passer la nuit debout dans le train. Mais non, à l'arrêt du train je ne peus monter dans le train du coté des sièges tellement il y du monde debout jusque dans les couloirs. Le chef de train me fait monter dans le wagon restaurant 1° classe. Par la suite le contrôleur, me délivre un billet de train avec couchette dans le wagon réservé au personnel, se fut le voyage le plus calme que j'ai passé.

J'arrive le samedi dans le début de l'àprès midi à Shangaï. Je suis accueilli par le fils de 16 ans. Le contact avec la soeur fut bien, elle me parle doucement afin de la comprendre. Nous sommes aller dans son appart dans une résidence fermer au calme. La température était de 10° est l'appart avait les fenêtre ouvertes ( à gla gla) heureusement j'avais prévus mes sous vêtements épais. L'appart très propre et très rangé à l'inverse de celui de Juliet. Je me rendis compte très vite que sa soeur avait menait une vie sans faire grand chose, vivant sur l'argent que son père et ces autres soeurs lui donnaient et qu'elle n'avait guerre eut de rapports avec des étrangers. Elle téléphonait sans arrêt à une de ces soeur qui était divorcé d'un anglais de venir l'aider.

Le lendemain dans la matinée nous sommes allés visiter la tour ....( nous, nous avons la tour Efel en féraille , eux ils on une tour béton).en haut, j'ai décidé de partir dans l'aprem. Lorsque nous sommes revenu à l'apart vers 2 heure de l'aprem, je lui et expliqué que j'étais désolé est que je partais maintenant. elle se demandait pourquoi, elle téléponne à sa soeur divorcé de l'anglais qui lui répond de me laisser partir.

En revenant le lendemain au soir à wudang , quand je suis rentré chez moi, j'ai envoyé un message à Juliet par téléphonne, elle est venu immédiatement. Je pensais qu'elle serais faché, elle est rentré avec le sourire, je lui est dit que je suis parti de chez sa soeur très vite, parce que je ne ressentais rien pour elle, et que mon coeur n'étant pas libre, je ne pouvais lui faire croire qu'il pouvait y avoir quelque chose entre nous, qu 'en ne restant pas elle ne faisait pas d'illusion. Je lui est demandé comment ça été ce week end avec son mari, elle me repondi: "mamahouhou" (comme ci comme ça),

La semaine ce passa bien. un nouveau week end arriva, le mari rentre de nouveau sans prévenir, accompagné d'un vieux cousin. Il lui dit que le cousin restera longtemps à la maison, qu'il prendra le bébé avec lui dans la journée et qu'il dormira dans la chambre d'amis avec le bébé. Voilà comment un mari imposent à sa femme un cousin dans la maison de Juliet qui faira office de surveillant. Coupant ainsi notre relation.

Je vous dit pas la réaction de Juliet, elle devenu exécrable, à ne plus me dire mots, refusant que je rentre chez elle, se mettant sur le dos de sont fils, jusqu'à même le gifler à la librairie.

 Ca c'étais donc la semaine dernière, Le mari rentre de nouveau ce week end, il repart et le cousin reste. Mais Juliet me téléphone le lundi matin de venir chez elle, en rentrant elle m'embrasse, me dit qu'on mangerais ensemble le midi chez elle... renversement de situation, de plus pour une rare fois elle me dit" je t'aime". Je reste sur mes garde, cela cache autre chose. Dans la journée elle me donne un papier tamponné d'une école pour faire renouveler mon visa, je suis surpris. et contant, j'ai toujours le cul assis entre 2 chaises avec ce problème de visa, maintenant on verra quand je le fairais renouvelé de combien de temps il sera prolongé.

Puis mardi dans l'aprem elle vient se reposer dans ma chambre, c'est la qu'elle me dit que le prochain week end , le mari revient ce week end et que le cousin s'en vas et le bébé part avec son père. Je ressens à ce moment là qu'elle ne le considère pas comme son fils et qu'elle réplique ce qu'elle à vécu dans son enfance avec la séparation de ces parents maternel. J'ai beau lui dire que le bébé à besoin de sa mère, elle me répond que son mari à besoin de vivre avec son bébé et que sera bien comme ça.

comme dit une amie: fin de l'épisode Romeo et Juliet, serie 2007, episodes...

A suivre.

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8 avril 2007 7 08 /04 /avril /2007 13:41

quelques photos de Shanghaï.

Vous n'en verrais pas plus, parceque j'en ai vue pas plus.

Pourquoi, parce que Juliet m'a forcer à aller voire sa soeur à Shangaï pour faire connaissance, elle pensait que je pouvais me marier avec elle, c'est rater, je suis arriver le samedi pour partir le dimanche dans l'après midi, alors que je devais y rester une semaine. Sa soeur, elle est bien gentille mais c'est une chinoise, est elle est très loin de comprendre un étranger. Et mon coeur na pas répondu à son attente.

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8 avril 2007 7 08 /04 /avril /2007 12:06

je me souviens d'un week end de travail de méditions ou le temps était quelque chose de très évidant.

    Nous sommes arrivé le jeudi à Thérargue, petite village dans le sud de l'ardèche, dans une très belle demeure, petit château style renaissance, pour une mise au point du travail que nous allions faire pendant ces 4 jours. Pendants ces jours de méditations le silence était demandé, la parole ne devait être quand cas d'extreme urgence.

    Le vendredi au petit jour petit exercice de qi gong , petit déjeuner avec rappel à l'ordre pour certain de ne plus dire mots. Puis vers les huit heure nous montons dans l'arrière du château dans un petit bois ou se trouve une sale tout en bois. Sur le toit de cette sale, quand la chaleur est trop accablante de petits gicleurs d'eau arrose le toit, l'eau y coule le long comme une pluie fine ce qui est très agréable. Donc, nous nous intallons à l'intérieur autour de cette sale. Le professeur étant un chinois du nom de P.Moy, je le connaissais d'un stage précédent ou nous avons fait connaissance , c'est une personne très sympathique , avec qui l'on peut facilement aborder plein de choses, mais qui garde ces distances, si l'on ne lui parle pas, il ne viendras pas à vous. Chacun prenant une position assise en tailleur , cailler , crayon et enregistreur de poche en main, pour ne pas rater une seule explication du Maître.

    La matinée passa vite, les explications sur le travail de la méditation , les différentes méditations et leur but, les erreur à ne pas commaître, etc... Le plus dure était que des questions nous venaient à l'esprit mais que le rappel à l'ordre de ne pas pouvoir parler était là, donc la non possibilité de poser des questions, ce qui n'était pas évident et ce qui nous demandaient une attention précise et claire à tout instant.

    La cloche du dîner se faisait entendre, la matinée était passé. Le maître nous demande d'aller nous restaurer et de se reposer après manger et de revenir pour 15 h. En descendant le bois pour rejoindre le château ou le buffet, de pleins de plats, nous attendaient, faut dire que la cuisine était bonne, simple et très frais, des élèves marmonnaient, se parlaient à eux même, on les regardaient avec sourire. Dès la première matinée des personnes ne pouvaient s'empêcher de parler, sa semble pourtant simple de ne pas rien dire, mais en groupe de personnes qui se retrouvent après une longue période on a l'envie de ce raconter des choses, de prendre des nouvelles...

    Le dîner fut un peut hippique: des choses simple devenaient peut évidente ou même parfois compliqué, ex:demander le sel sans pouvoir parler. Un autre groupe était présent et quand il nous demandait quelque chose, le sourire remplaçait la parole, mais l'incompréhension se lisait dans certain visage ou regard de ne pas répondre par la parole à leurs demandent. Quelques gros mots habituelle finissaient par s'échapper... A 

    15 h tous le monde étaient en place. Reposé, tous assis en tailleur, le crayon , cahier, etc.. en main, sauf moi, j'avais une tenue plutôt assis à la décontracté et mes affaires servant de repose tête. Le maître arrivent doucement, inspectant discrètement chacun. Il s'assis en tailleur et parla à l'oreille de son amie, sont amie parla à une traductrice qui vient à moi. elle me dit que le maître veut que tu soi assis à côté de lui, j'étais visé, comme on dit, tous le monde me connaissait bien et ma tenue relâcher fut pris avec sourire. Je pris mon zafu (coussin de méditation) et je m'assis à coté du maître, cette fois ci correctement en tailleur. Il souris, l'assitance souris de nouveau. il me fit décaler pour que la traductrice, qui était une amie à moi, put s'intercaler pour me traduire, P. Moy parle l'anglais parfaitement alors que moi pas grand chose.

    il se mis à dire; que comme dans la matinée, il nous à bien observé tous en donnant les explications, il a observer que tous le monde pouvaient rester en tailleur pendant de longs moments et que les explications ne remplace pas le travail alors, les explications sont terminer et nous allons passer au travail immédiatement. De s'intaller le plus confortablement en tailleur, de fermer les yeux et laisser un fils de lumière filtré entre les paupières, de calmer la respiration et de la prolonger. Tandis qu'il murmure a l'oreille de la traductrice qui murmure à mon oreille de ne pas fermer les yeux est d'observer l'assistance. Puis il dit que tous le monde est près, et qu'a partir de ce moment nous allons passer le restant de la journée à méditer, puis il ne dit mot, il me regarde et me fait signe de regarder les élèves.

    Il ne donna aucune instruction ni directive dans le travail sur la méditation. Le doute s'installait parmis les élèves, qu'elle genre de méditation fallait il prendre, pourquoi il donne pas de directive et, il faut méditer le restant de la journée, c'est jusque quand? Il ne fallu pas 5 minutes pour qu'un élève n'ouvre les yeux et tourne le regard vers le maître, le maître regarda sa montre, me regarda et souris, puis d'autres et d'autres bougeaient, ils ne se passa pas plus d'une demis heures sans que plus de la moitié de l'assitance ne bouge ou ouvre un oeil.

    Il arrêta le travail au bout d'une heure, si on peut appeler ça travail, ce fut une observation pour moi plein d'enseignement. Alors que tous le monde attendait dans le début de l'après midi encore des explications , elle fut couper par une séance de travail immédiat, puis, plus commentaire, plus d'instruction, et la surprise de rester, le reste de la journée assis en tailleur, pendant un certain temps qui n'était pas défini. La notion de temps, plus, le "lâcher" dans le travail sans savoir pour ainsi dire qu'elle directive prendre, ce ne fut pas le calme dans la tête pour certain. C'est comme à des enfants à qui débutent à marcher est que l'on lâche la main et le le laisser libre vagabonder, la panique s'empare. Ne trouvant pas le calme dans les pensées et l'esprit, ils ne purent ce relâcher, et le travail fut bref et interrompu.

    Ce que le maître demanda par la suite, c'est d'abandonner les stylos, cahiers et toutes sortent d'enregistreurs pour être encore plus attentif et d'écouter et de ne plus simplement entendre et de recopier bêtement, la compréhension passe par une écoute attentive et instinctive.

     Le reste du week end de déroula sans incident, le maître voyait qui ce perdait dans son travail et venait à son secours.

     Ce texte fait parti de mes expériences dans mon travail personnel, il reste graver comme bien d'autres moment ou la compréhension de petit rien peut devenir très important aux yeux de quelqu'un.

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5 mars 2007 1 05 /03 /mars /2007 08:27
Pour donner suite à un commentaire sur ce que les photos precedentes à l'étale de viande, dont nous avons peut l'habitude de voire, et  la suite de mémoire consciente et inconsciente:
Qu'elle pays ou qu'elle personne ce dit civilisé? il ne suffit pas que de savoir ou de réfléchir ou de créer pour ce dire civilisé. Nous sommes tous pires que des sauterelles qui détruisons tous sur notre passage. Et nous ne pouvons imaginer combien nous nous rendons peut compte comment nous sommes des êtres avident de notre propre personne et imbu de bons principes de ce qui nous entoure.
Il ne faut pas aller chercher très loin: vous qui me lisez, avez vous pris conscience de combien d'énergie électrique vous devez utiliser pour lire ce que j'écris ( et inversement, combien j'en ai utilisé pour vous écrire) et regarder autour de vous, combien de choses qui ne servent à rien pour l'instant, puisque vous avez les yeux rivé sur l'écran, et qui utilisent de l'énergie pour rien ?.
Dans le temps passé, on peut on peut dire que l'enseignement était sage ; il était écrit, (quoique on commençait à détruire pour faire du papier, ou on utilisait juste ce qu'il fallait "peut être") puis retransmit oralement, et la parole avait de l'importance, car la présence de l'enseignant était quelque chose de reconnu et respecté.
Maintenant l'information passe par des ondes, télévision, radio, etc...elle n'est que écouté et non entendu, elle reste virtuel, sur le coup on en prend conscience, mais elle se perd et  se mélange, encombré parmi toutes les autres informations perçues virtuellement et inconsciement . Quelque brides restent  mais reste confus.
L'expérience peut être faite: Regarder un film, et quelque temps après essayer de raconter sont histoire dans l'intégralité...puis passer quelques jours sans regarder ou écouter des infos virtuels et puis allez voire un conteur, que l'histoire peut durer une heure, vous pourrez la raconter de nouveau.
Les informations ne sont pas que dans la parole ou dans l'écriture, elle sont aussi invisible: Elles sont dans ce que nous mangeons. Lorsque nous mangeons nous avalons des informations.
Lorsque l'on voie de la nourriture qui nous est méconnu, cela nous choque plus que de voire de la viande bien emballé, débité, entouré de persil en plastique, qui rend à la vue la viande l'envie d'acheter. Le leurre le plus terrible pour cacher la vérité de ce qui ce cache en amont cette viande.
Une parenthèse: le saviez vous ,  combien de jours après être débité un  rossbeef soit tendre à manger? 7 jours, autant dire que l'on mange du cadavre...
Lors d'une conférence de Jacqueline Bousquet (ex chercheur au CNRS), elle nous disait comment les informations que nous mangions pouvaient se transmettent dans nos cités.
Les enfants de nos cité sont laisser au libre court de leur apprentissage de la vie. Les parents travaillant rentrant tard, à cause de leur travail éloigné et des transports encombrés, ou quand ils ne travaillent pas, sont dans des cafés de quartiers ou la parole n'est pas toujours de bonne augure et le verre et facile a remplir. Quand ces enfants rentrent chez eux, ils sont seul ou accompagné de copains de même provenance,  pour s'en fermer dans des jeux virtuels ou le combat est présent, ou la vie ou la mort n'est que fictive. Et comme c'est gens on des ressources financières peut élevés, ils vont acheter dans des super-marcher de la viande d'où la provenance est douteuse. (une bête abattue en Roumanie ou ailleurs mais débiter en France peut avoir l'étiquette: viande française, ce qui ne veut pas dire d'originne française, et ne parlons pas de l'ouverture des frontières avec l'Europe). Ou l'animal  sous la domination Boeuf n'est que de la viande de vache qui n'a jamais vue une prairie. Sa vie c'est passé dans un hangar appelé stabulation, pataugeant dans leur excréments, ou quand la vache doit mangé son coup est coincé par des barreaux, et ne mange que des aliments ensilés (fermenté) ou des farines, dope d'antibiotic, dont en connait maintenant les répercutions avec le prion qui développe une maladie appelé la vache folle. Puis parlons du veau, on le retire quelques jours après ça naissance de la mère pour le mettre dans des box ou il doit se presser de boire a la tétine en latex, ou il ne peut gambader . Il ne reçois l'éducation de ça mère, mais l'éducation entre congénères pour faire sa place parmi les siens. Ne parlons pas des poulets dans les cages. c'est vrai on en voie courir dans les prés ou dans les sous bois, c'est que l'on voie à la télé, ceux qui sont dans les cages ne passerons pas à la télé eux. tous ces animaux sont conditionner, transporter dans des conditions faut voire comment, sans parler de la violence de l'abattage, je vous dis pas le tôt de stress que ces animaux stock dans la viande. Tous cela ce répercute dans la viande que nous mangeons et notre comportement en dépend.
Oui vous allez me dire, cela fait des années que je mange de la viande et "je me porte bien", je ne ressent rien qui puisse me supposer que mon comportement n'est pas "bestial". N'avez vous pas une fois un jour être pris à parti avec quelqu'un, piquer une colère, engueulé et même frappé, ou en avoir eu l'envie ? Et oui, vos informations au niveau de la mémoire cellulaire sont tellement encombrées que quand elle remonte au cerveau vous n'en savez plus en faire la différence.
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24 février 2007 6 24 /02 /février /2007 04:41

Je vous es trouver sur le marcher de la viande comme on ne voie pas dans nos etales.

    Du Rat seche 

Et du chien. bonne apetit...  

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24 février 2007 6 24 /02 /février /2007 03:22
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23 février 2007 5 23 /02 /février /2007 02:03

Je vous demande de regarder cette video.

Attention ce sont des images insoutenable.

Je demande a ce qu'elle soi divulgue dans tous les blogs (copier le lien) pour que le monde entier puisse savoir l'horreur de la mutilation des jeunes filles d'Afrique.

Malgres les croyances et les traditions, ceci doit etre aboli.

http://www.respect-ev.com/index.php

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18 février 2007 7 18 /02 /février /2007 10:42

Aujourd'hui , Fete en Chine du passage du nouvel an Chinois, j'ai decider de publier une lettre que j'envoie a une amie.

Non sans blague , comme tu le dit, tu t'y met....???
Je t'est envoyer une carte de tres loin...de Yangshou, 60km au sud de Guilin, sud ouest de la chine.
Resumer de la situation d'aujourd'hui et du retour en chine.
Quand je suis arriver a Pekin, elle m'a rejoind Nous avons passes une semaine formidable, malgre les coups de fils incessants qu 'elle donnait pour avoir des nouvelles de bebe et de ceux qu 'elle recevais de sa famille des deboirs de son fils avec son ex mari et de son mari actuel. Elle ne voulais pas rentrer a Wudang, elle etait prete a aller vivre dans une autre ville allieur avec moi... Je l'ai resonne, que l'on devais rentrer a wudang a cause du bebe. Quand on est rentre, elle a telephonner a son frere ainee (celui qui la marie de force) elle a eu son accord pour que l'on vivent ensemble. Elle me disait que si le mari rentrait, il restait a la porte. J'ai changer mon argent pour acheter l'apart d'a cote.  Mais quand le mari est revenu le premier week end, ce fut plus la meme chanson. Alors un matin, le mari etait encore coucher, je lui est demander de venir un instant, j'avais preparer mon sac pour partir. Quand elle les a vue on ne sait plus rien dit. elle c'est assis, elle murmurais, "bu" (non) , je lui est dit que je j'en avais marre, que je pensais que nous alions vivre ensemble, et que je vois que le mari est rentrer et que la situation et identique a l'annee derniere, alors je part. Elle est rester assis sur le sofa, je l'ai embrasser en lui disant "je t'aime". Je suis parti, me changer les idees dans un autre endroit de la chine, aux milieux des pains de sucre que forment les montagnes, balades en velo aux milieux des risieres, peche avec les cormorans sur des bateaux de bambou, visite de grottes avec bains de boues....Je pensait visiter d'autre endroit de la chine et ne plus revenir. On se telephonnaient quand meme tous les jours et les conversations ce terminaient toujours mal. La cassure etait entammer.
Comme le nouvel an chinois se pointait, et que la plupart des petits hotels fermaient, et les autres etaient complet ou la chambre a des prix trops exorbitants, j'ai decider de rentrer. Comme cette fois ci j'avait donner toutes mes clefs, il falu les chercher. Quand je suis aller a la librairie, elle m'a dit que mes clefs etait chez elle, nous y sommes alles ensembles et quand je suis rentre chez elle , elle m'a attraper pour m'embrasser. J'ai rien compris sur le coup, je croyais que sans etais fini vue les coup de fils. Pas du tout. Elle etait meme tres heureuse que je soi rentre, puis elle me dit: que sont mari c'est demerde pour payer son mannerger pour qu'il puisse maintenant travailler a wudang, et que nous, on reste amant puisqu'elle ne peut vivre avec moi. Puis elle est venu un aprem faire la sieste avec moi. Elle a apporter avec elle une photo de sa demie soeur, elle me dit qu'elle a beaucoup parler de moi a sa soeur, et qu'elle veut faire connaissance pour peut etre se marie avec moi.
voila la situation, decus, pourtant j'y avais bien cru, quand on etait a pekin et en rentrant a wudang, ILLUSION, et j'en ai fait mon parti prix. On ne pourra jamais vivre ensemble. Elle se laisse vite porter par le vent, du sens qu'il souffle. Je pense qu'elle viens chercher aupres de moi ce qu'elle ne peut pas avoir avec son mari, affection, et relation sexuel. Quand au restant elle est encore bloquer avec des principes familiaux...malgre les discutions telephonnique qu'elle a eu avec sa famille. 
Hiers au soir c'etait le passage de la nouvel an, et, a minuit son mari est sorti, je l'ai vue j'etais avec des etrangers dans la rue, il faisait la geule. Elle m'a telephonner pour que je vienne l'embrasser.
voila , voila....une vie simple pour moi ??? pas ce j'esperais en tous cas. On fait avec pour l'instant.
Quand je suis parti, j'ai pris un livre avec moi, La recherche du bonheur par "Ivanof..."(quelque chose comme ca) il dit: chercher le bonheur dans l'instant present. Quand je me balladais, je n'arretais pas de penser a elle, puisque je m'emmerdais d'etre seul, de ne pas partager ce que je voyais, alors j'essayais de m'apoprier le paysage, et dans retirer un instant de bonheur, que c'etais bref. Je n'ai jamais tant pleurer de ma vie depuis que je la connais.
Voila, cette lettre que je t'ecris je vais la publier dans mon blog, parce que j'en ai gros sur la patate, J'ai passe le nouvel an en france avec Marie France (Mon ex femme qui a bien voulu m'eberger pour mon retour) et ma mere pour eviter qu'elles ne soit seul , mais c'est moi qui etait seul, Et je viens de passer le nouvel an chinois seul, plus que seul. En me balladant dans la rue, hiers au soir, j'ai entendu un caraoker ouvert ou il y avait de la musique disco, j'y suis aller, j'ai pas eu le coeur d'aller sur la piste. Je n'ai fait que d'arpenter les rues, regarder les feux d'artifices et sursauter a chaque petart qui claquait.
Le seul bonheur que j'ai, c'est quand elle me passe sont bebe, que je lui cause, qu'il me souris et qu'il s'endort dans mes bras.
A+
Bonjour a ta famille.
marc
 
 
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